Pendant que l'Occident, par instrumentalisation de la pandémie du Covid-19, se confinait dans une atmosphère de fin du monde pour échapper à un banal virus dont la chance de survie pour l'humain est estimée à plus de 99,99%, deux « microbes biosociaux » autrement plus létaux creusaient la tombe de cette civilisation consumériste devenue improductive à force de dévoiements spéculatifs financiers, menacée réellement de disparition. En effet, l'Occident est menacé d'extinction par deux phénomènes corrélés : la baisse vertigineuse de la fécondité et la chute alarmante du nombre de spermatozoïdes. Pour ce qui est de la fécondité, en 60 ans elle a diminué de moitié dans le monde occidental. Corrélé à l'effondrement des spermatozoïdes, à ce rythme-là l'Occident pourrait devenir totalement infertile et, donc, dépeuplé dans moins de 25 ans. D'ici 2050, l'Occident ne disposerait plus du taux de fécondité suffisant et du nombre de spermatozoïdes proportionnés pour assurer la reproduction de sa population. En attendant, ces changements « biosociaux », causés par le mode vie capitaliste toxique et pathogène, auront des conséquences économiques et sociales considérables en raison du vieillissement des populations occidentales et du déclin de la main-d'œuvre. Ce phénomène de la chute alarmante des spermatozoïdes, observé dans le monde occidental, a été étudié par l'épidémiologiste américaine de l'environnement et de la reproduction, Shanna H. Swan. Dans son livre (Compte à rebours – Nos enfants seront-ils tous stériles en 2050 ?) elle démontre que le nombre de spermatozoïdes produits dans les pays occidentaux a chuté de presque 60% depuis 1973. Le liquide séminal de l'homme occidental est passé de 99 millions de spermatozoïdes par millilitre en 1973 à 47 millions en 2021. À ce rythme, pronostique-elle, ce chiffre pourrait atteindre zéro en 2050. Les Occidentaux sont-ils une espèce en voie d'extinction ? Après avoir détruit leurs moyens de production délocalisés vers des régions asiatiques fertiles devenues les Ateliers du monde, les Occidentaux sont-ils conduits vers l'incapacité congénitale à se reproduire faute de ressourcement séminal ? Une chose est sûre : la dégénérescence de production « spermatozoïdale » occidentale semble menacer la reproduction de la population. Nul doute, « l'épidémie d'infertilité » qui frappe, depuis plusieurs décennies, l'Occident est autrement plus létale que fut la bénigne pandémie du Covid-19, stratégiquement instrumentalisée par les gouvernants pour pérenniser leur domination despotique par le gonflement de leurs bourses financières turgescentes de profits. D'ores et déjà, pour ne citer que le cas de la France, le taux de fécondité a considérablement baissé. Selon l'Insee (Institut national de la statistique et des études économiques), le nombre de naissances a fortement chuté ces dernières années. En 2023, seulement 678 000 bébés sont nés en France, soit près de 7 % (6,6 %) de moins qu'en 2022. Jamais les Français n'avaient fait aussi peu de bébés depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Avec toujours moins de nouveau-nés et toujours plus de personnes âgées, le bilan démographique révèle une France vieillissante. Le phénomène de baisse de la fécondité s'observe dans toute l'Europe. Dans une Europe marquée par la détresse psychologique et l'incertitude sociale générées par la crise économique, cette tendance baissière démographique risque de s'accentuer, de s'accélérer. Ironie du sort, les pays européens prétendaient lutter contre la pandémie du Covid-19 pour éviter le décès de personnes âgées et vulnérables, cibles principales du virus, dont le taux de mortalité est de moins de 0,13%, avec une moyenne d'âge située autour de 82 ans – l'âge de l'espérance de vie -. Or, dans le même temps, leur gestion calamiteuse aura privé leurs pays respectifs de plusieurs millions de naissances. Autrement dit, les gouvernements européens programment l'euthanasie de la population en amont et en aval. Au reste, une majorité des pays occidentaux a légalisé l'euthanasie, véritable crime médical institutionnalisé. Cette chute démographique est favorisée également par la baisse et la qualité des spermatozoïdes. Dans son étude, Shanna H. Swan avance que le nombre de spermatozoïdes produits dans les pays occidentaux a considérablement chuté. Parmi les causes évoquées contribuant à l'altération des spermatozoïdes, la scientifique incrimine la présence dans l'organisme humain de certaines substances chimiques aux effets nocifs sur la fertilité. Pour Shanna H. Swan ce sont les substances chimiques du quotidien existant dans les emballages alimentaires, les jouets, les cosmétiques, les pesticides qui affectent le système endocrinien. Outre les facteurs liés au stress et à l'obésité, caractéristiques inhérentes au mode de vie occidental, ces auteurs visent principalement les perturbateurs endocriniens, ces molécules qui agissent sur l'équilibre hormonal. À cet égard, les phtalates et le bisphénol A sont désignés comme responsables par l'épidémiologie, « car ils font croire au corps humain qu'il dispose de suffisamment d'hormones – testostérone ou œstrogènes – et qu'il n'a donc pas besoin d'en fabriquer davantage ». Aussi, la taille et la forme des organes génitaux seraient-elles durablement affectées. Selon Shanna H. Swan : « Les phtalates abaissent les taux de testostérone et ont donc une influence particulièrement mauvaise côté masculin, par exemple en provoquant la diminution du nombre de spermatozoïdes. Le bisphénol A, lui, imite les œstrogènes et est donc particulièrement nocif côté féminin, augmentant les risques de problèmes de fertilité. Mais il peut également faire chuter la qualité du sperme, la libido et provoquer des taux plus élevés de dysfonction érectile. » Pour la scientifique américaine, l'exposition aux multiples substances nocives commencent avant la naissance, lors de la phase fœtale : « Une grande partie de l'exposition à ces matières se produit in utero, lorsque le fœtus se forme pour la première fois. Les effets se poursuivent ensuite pendant l'enfance, l'adolescence et l'âge adulte. C'est un phénomène cumulatif : un fœtus femelle, in utero, développe déjà les ovules qu'il utilisera pour avoir ses propres enfants. » D'autres scientifiques pointent du doigt la chaleur comme facteur d'altération du spermatozoïde. En effet, la fabrication du sperme est très sensible à la température. Or, les spermatozoïdes doivent être préservés à une température entre 33-34 °C. Toute augmentation anormale de la température des testicules entraîne un ralentissement, voire un arrêt de la spermatogenèse. Et les scientifiques d'incriminer les jeans trop serrés, portés, ces dernières décennies, par la majorité des hommes, depuis l'enfance jusqu'à l'âge adulte. Par ailleurs, l'alimentation industrialisée constitue également un facteur de détérioration de la qualité et de baisse des spermatozoïdes. Sans oublier le tabac. Le tabagisme entraîne la dégradation des vaisseaux sanguins de l'appareil génital masculin, favorisant ainsi la destruction irréversible de la fabrication de sperme. Il faut également rajouter l'alcool. De même, la vie sédentaire, accentuée par l'usage permanent de la voiture qui obstrue, sans jeu de mot, la circulation du sang. Nul doute, la révolution industrielle et l'industrie pétrochimique sont responsables des modifications génétiques induites par l'ingestion de nombreux composés chimiques affectant durablement les hormones, principalement les œstrogènes et la testostérone. Selon le professeur Shanna Swan, sans changement notable du mode de vie consumériste toxique, « la plupart des couples pourraient avoir recours à la procréation assistée en 2045 », pour assurer partiellement la survie de la population occidentale. À terme, sans annihilation du modèle économique capitaliste génocidaire, les pays occidentaux pourraient disparaître. Ou, plus exactement, tous les pays façonnés (fascinés) par le monde occidental. Ainsi, l'infecte économie capitaliste occidentale, après avoir anéanti de nombreuses civilisations (écologiques) millénaires par ses entreprises productivistes génocidaires, détruit la planète par ses exploitations effrénées des ressources fossiles, parachève-t-elle son « progrès civilisationnel » (syphilisationnel, tant l'Occident est une civilisation syphilitique, c'est-à-dire atteinte de la syphilis immorale, cette dépravation sociétale contagieuse) par son suicide collectif, autrement dit par l'anéantissement de sa source de vie, son liquide séminal tari à force de contaminations chimiques. Sans conteste, la production capitaliste toxique normalisée génère plus de comorbidités et pathologies sociales, provoque plus de décès que toutes les anciennes sociétés humaines. De toute évidence, « l'intoxidentalisation » du monde, c'est-à-dire la propagation du mode vie capitaliste toxique à l'ensemble de la population mondiale, risque d'entraîner l'espèce humaine à son anéantissement. En particulier, quand on apprend par un récent documentaire réalisé par Sarah Schenck et Steven Lawrence que l'humanité a perdu, au cours des 50 dernières années, la moitié de son microbiome ancestral, c'est-à-dire de l'ensemble des bactéries censées l'aider à rester en bonne santé. Conséquence : selon les deux réalisateurs américains il y aurait un lien de causalité, de corrélation entre l'augmentation exponentielle de plusieurs types de maladies chroniques et la disparition des microbes humains. Disparition causée par la surutilisation des antibiotiques, une surconsommation imposée (comme les vaccins ARN-m lors la fallacieuse épidémie de Covid) par les groupes pharmaceutiques et leurs mercenaires médicaux, les médecins, ces serial killers assermentés, qui prescrivent massivement et quotidiennement des poisons médicamenteux. Sous l'infecte et pathogène capitalisme décadent, l'humanité, au mode de vie occidentalisé à outrance, est désormais vouée à disparaître sous l'effet de plusieurs menaces létales d'origine occidentale : extinction par tarissement de la fécondité, extinction par amenuisement des spermatozoïdes, extinction par raréfaction du microbiome, et extinction par la guerre nucléaire. Le capitalisme occidental aura inventé de multiples meurtres de masse, de génocides : par chambre à gaz, spécialité européenne ; par bombes nucléaires, apanage des Etats-Unis ; par voie meurtrière médicale : euthanasie ; par pollution et destruction de l'organisme humain causé par l'ingestion de poisons médicamenteux ; par l'anéantissement de la source séminale provoquée par le mode de vie infecte et pathogène occidental, etc. Sans oublier la mort psychologique à petit feu, cette maladie psychiatrique épidémique causée par la dévastation des liens sociaux et familiaux, transformant chaque homme et femme en cadavre ambulant toxique, en spectre misanthrope féroce. Autrement dit, le capitalisme détruit tous les organes humains vitaux et les organismes sociaux existentiels. Raison pour laquelle il est urgent d'anéantir ce « Frankenstein » occidental capitalistique lâché dans la nature par les forces maléfiques du Capital, avant qu'il engloutisse toute l'humanité. Pour rappel, dans le roman d'épouvante de Mary Shelley, Frankenstein a donné vie à un cadavre d'homme reconstitué de chairs mortes. Cette monstrueuse créature« Frankensteinesque », métaphore du capitalisme naissant triomphant, dorénavant livrée à elle-même, comprend rapidement qu'il lui sera impossible de mener une existence normale. La Créature Frankensteinesque, symbole du capitalisme monstrueux engendré par l'Europe, dotée de sa propre personnalité, échappe à tout contrôle. Le capitalisme mortifère, ce Frankenstein de l'Occident, ne se nourrit, depuis sa naissance, que de chairs humaines, mortifiées dans ses entreprises broyeuses de vies, décimées dans ses fronts de guerres génocidaires récurrentes.