Inconnu pratiquement de la grande masse des lecteurs algériens, à part les francophones qui en avaient entendu parler, il y a un quart de siècle, et qui l'ont oublié depuis, Boualem Sansal, un écrivain français d'origine algérienne, est rappelé à la mémoire de tous par une émission diffusée vendredi soir par la chaîne Canal Algérie de la télévision publique. Pour en savoir plus sur lui, il faut aller sur Wikipédia. On apprend que Boualem Sansal, né le 15 octobre 1949 à Theniet El Had, est un écrivain franco-algérien d'expression française, principalement romancier mais aussi essayiste. Il publie ses ouvrages en Algérie, en France ou en Allemagne. Il est le lauréat de plusieurs prix littéraires, dont le grand prix du roman de l'Académie française 2015 pour son roman ''2084 : la fin du monde''. On apprend également que le père de Boualem Sansal est issu d'une famille aisée du Rif au Maroc, sa mère a reçu une instruction et une éducation ''à la française''. Boualem Sansal a fait ses études en Algérie. Il a bénéficié du système d'enseignement dont la gratuité à tous les niveaux est un des acquis de l'indépendance nationale. Grâce à l'Etat algérien, il a pu suivre une formation d'ingénieur à l'Ecole nationale polytechnique et obtenir aussi un doctorat d'économie. Les cadres qui ont travaillé au ministère de l'Industrie l'on connu à l'époque où il était fonctionnaire dans une de ses structures, alors qu'il habitait à Boumerdès. C'est son premier roman, ''Le Serment des barbares'', publié en 1999, qui l'a fait connaître. Il publie d'autres livres par la suite. En mars 2008, il se rend au Salon du livre de Paris qui a fait de l'entité sioniste l'invitée d'honneur et marque ainsi sa préférence pour l'entité criminelle sioniste. En mai 2012, il récidive et participe à la troisième édition du Festival international des écrivains à El Qods occupé. Son attitude provocatrice est illustrée par de nombreux actes qui confirment sa position pro-sioniste, y compris dans cette période marquée par sa nature criminelle. Il obtient en 2024 la nationalité française. Ses amis ont une caractéristique commune : la haine de l'Algérie, parce qu'ils n'ont jamais pu admettre et accepter que les Algériens aient chassé le colonialisme français après une Guerre de libération nationale déclenchée le 1er novembre 1954 et terminée par la victoire le 19 mars 1962, faisant suite à une lutte ininterrompue et les immenses sacrifices des générations précédentes depuis que l'armée française a envahi l'Algérie en 1830. Boualem Sansal réserve toutes ses attaques contre son pays d'origine, l'Algérie, et contre l'Islam, religion de la population algérienne.