Dans un monde où les frontières entre la liberté d'expression et le respect des valeurs fondamentales deviennent parfois floues, il est essentiel de rappeler que certaines lignes ne doivent pas être franchies. La question de la souveraineté et de l'intégrité territoriale est l'un de ces principes intangibles, au cœur de l'identité nationale. Au-delà des débats sur les libertés individuelles, il existe des valeurs sacrées que tout citoyen, sans distinction, doit protéger. Récemment, l'incarcération de Boualem Sansal, suite à des propos jugés contraires à l'unité nationale, a ravivé ce débat. En effet, certains estiment qu'il est impératif de souligner que l'ingérence dans les affaires internes du pays, notamment en ce qui concerne la question territoriale, est malvenue. Tout individu qui remet en cause l'unité nationale ou qui adopte une position opposée à celle de la majorité, en particulier sur des sujets aussi sensibles, doit répondre de ses actes devant la loi. La liberté d'expression est un droit fondamental, mais elle ne saurait justifier des actions qui fragilisent la cohésion nationale. Les « lignes rouges », notamment celles liées à l'intégrité territoriale, doivent être respectées, car elles sont le socle même de la stabilité et de l'unité du pays. Il est donc crucial de rappeler que, dans ce domaine, aucun compromis n'est envisageable. Toute ingérence étrangère ou toute remise en question interne de ces principes doit être traitée avec la plus grande fermeté. Ainsi, il appartient à l'Etat, à travers ses institutions, de défendre ces valeurs essentielles et de s'assurer que personne ne tente de déstabiliser l'ordre national sous le couvert de la liberté d'expression.