Bernard Simondi a donné une conférence de presse, hier, à la maison de la presse sur invitation du journal sportif Echibek. Simondi a expliqué sa situation actuelle avec la direction de l'entente de Sétif. Le coach français a été mis à la disposition des jeunes en qualité de DTS. Refusant ce statut, il aurait signé un contrat en sa qualité d'entraîneur en chef de l'ESS. Se sentant coupable dans l'affaire, l'entente a trouvé une autre alternative pour son limogeage. C'est l'affaire des écrits que Simondi donnés à la presse en critiquant notre football et nos arbitres. Pour cela, la LNF a convoqué Simondi pour plus de précisions sur cette affaire. Ce dernier dira, «je n'ai jamais parlé de personne ni à la radio ni aux journalistes». Mais la LNF a pris la décision de le suspendre après n'avoir pas répondu à deux convocations. Pour cela, Simondi dira, «je n'ai reçu aucune convocation, la direction ne nous a rien signifié». Effectivement, le président Serrar reconaît avoir reçu les convocations de son entraîneur mais ne les a pas transmises à l'intéressé. Profitant de cette situation, la ligue a infligé une sanction à Simondi. Ce qui oblige la direction de Sétif à prendre des sanctions sur ces griefs. Après audition à la LNF, Simondi a été remis dans ses droits maintenant par le biais de son avocat. Il demande réparation à la direction de l'entente. «Je demande à ce que je sois payé pour la totalité de mon contrat». C'est-à-dire la saison complète. Il ajoute, «je ne suis même pas payé ce mois-ci». L'affaire risque de prendre une grande tournure du fait que Simondi a un solide contrat «FAF-FIFA». Son avocat est partisan d'une affaire que l'on conclut à l'amiable, et à la réduction des mensualités.