C'est donc bizarre, les causes ne sont qu'un sachet de lait ! En ce début de la soirée de mercredi dernier, un crime sauvage a été commis volontairement sur un vieillard Ami Bouziane, un vieillard âgé de 74 ans. Les initiales BMB aux environs de 20h30, également son épouse âgée de 54 ans et leurs fils ont vécu tous les trois un cauchemar face à leur bourreau, cette scène dramatique de ce pauvre vieillard assassiné de plusieurs coups de couteau dans le corps chétif de cet septuagénaire d'où l'arme blanche tranchante s'enfonce à plusieurs reprises que la victime rendra l'âme en pleine voie publique de la rue Cheriet Ali Chérif ex-Cavaignac en plein centre-ville à Oran, son épouse, elle aussi, voulant porter secours à son mari des mains de ce criminel, elle fut blessée gravement au niveau de son visage, tomba dans un coma, son fils âgé d'une vingtaine d'années. L'agresseur était donc accompagné de ses deux enfants, selon ainsi les témoins et le voisinage de la victime qui assistaient à cet horrible crime qui affirment que les agresseurs comme à leur accoutumée, les agresseur, voire l'agresseur, et ses deux fils se sont volontairement acharnés sans aucune retenue sur ce pauvre innocent vieillard et, soulignons-le, personne dans l'entourage présent n'a osé intervenir, le témoignage d'une voisine, certes, au moment de cette agression qui connaissait très bien les deux opposants que ce soit les victimes que les agresseurs confirment très bien que les agresseurs sont gérants d'un magasin d'alimentation générale. Crime crapuleux commis dans la même ruelle où habitait donc le pauvre Amouri Bouziane (BMB). Selon notre source, les agresseurs arrêtés par les éléments de la police judiciaire semble-t-il bien encensés par plusieurs plaintes déposées contre eux, semant la terreur dans le quartier, nous apprenons que le fils de la victime se trouve toujours entre la vie et le coma, quant à son épouse, elle a retrouvé et repris connaissance. Toutefois, selon certains témoignage que la violence et les agressions ont pris l'ampleur à Oran. Cette capitale de l'ouest du pays qui garde en mémoire les derniers crimes crapuleux et sauvages commis à l'hôtel Ouarsenis d'où le caissier de cet établissement hôtelier a été tué par un client ainsi que celui de Valéro où une femme avait égorgé son amant. Les Oranais gardent toujours en mémoire l'horrible crime d'un employé de la wilaya qui avait été brûlé pour être jeté carrément dans la sebkha. Aussi un autre crime commis par un collège avait une arme blanche (couteau) cachée dans son cartable sur un autre jeune lycéen âgé de 18 ans, rappelons, enfin, que tous les auteurs de ces crimes ont été arrêtés par les services de sécurité et mis en prison et bien nous résumons les causes de ce crime du septuagénaire n'est que l'histoire d'un sachet de lait, cela parait un peu bizarre, mais c'est ce qui s'est passé à l'ex-rue Cavaignac d'Oran.