, Où est passé Hafid Derradji ? Les corruptions aux couleurs pharaoniques l'ont tout simplement éloigné du studio et des stades. Remplacé par leur singulier commentateur égyptien Ali Mohammed Ali, et ce, pour répondre à la convention certainement engagée par les deux parties pour ne pas dire par les trois parties. Puisque la chaîne Al-Jazeera à travers son canal non crypté et bien entendu tout à fait gratuit, Sport 2 a ouvert aux Egyptiens la possibilité de suivre les rencontres de leur équipe. «Alors que Hafid Derradji était installé sur le canal 8 qui était, pour la majorité des Algériens, crypté, les obligeant à regarder le commentateur égyptien sur le canal en clair sur Al Jazeera 2». La trahison de la chaîne Jazeera ou la honte d'une chaîne qui bascule sur un pays qui n'a pas versé un centime et écrasé ses engagements avec l'Algérie qui a versé 10 millions de dollars pour permettre à son peuple de suivre dans la dignité et sans baise-main les rencontres de leur équipe nationale. Tout ceci est le travail du lobby juif installé en Egypte et qui tire sur tout ce qui est algérien. Pas d'images des manifestations de nos supporters, pas de commentaire depuis Alger, la censure était au cœur des retransmissions. Nous avons même vu leur envoyé spécial se faire retiré l'antenne lorsque des Algériens reprenaient en chœur les chants qui ont fait vibrer l'Algérie. Le Tunisien Hichem Khelassi, qui montra sa véritable carte, celle d'anti-Algérien (fort heureusement qui ne pèse pas sur la majorité des Tunisiens frères qui ont soutenu l'Algérie durant les multiples compétitions de la CAN). Un pauvre animateur à la cervelle d'oiseau acheté au sens légal du terme par des Egyptiens. La première censurée fut Leïla Smati qui interviewait des supporters algériens quand elle fut coupée pour diffuser une chanson à la gloire des Pharaons. Les faits sont têtus et démontrent comment ce pays dont la haine prends racine depuis ses terres détruit tout ce qui ne roule pas pour lui. Quelle est la couleur de cette coupe ? Que vaut cette coupe achetée à prix fort. Où est le sport africain, où sont les hommes qui doivent condamner ces actes qui portent atteinte à l'image du sport en l'Afrique ? Comment expliquer que les studios de la chaîne qatarie MBC à travers son émission «Sada Malaaib» de Ahmed Agha qui a roulé de bout en bout au profit du lobby transforma pour la circonstance ses studios en piste de danse, où l'animateur demandait d'oublier l'Algérie, oublier les autres et de ne se concentrer que sur cette victoire ? Comment expliquer que cette chaîne à travers son émission «Sada Malaaib» de Ahmed Agha qui a roulé de bout en bout au profit du lobby juif ? Un animateur qui s'est transformé pour la circonstance en provocateur… Depuis Marseille, nous l'avons tous remarqué, des Algériens ont été littéralement censurés parce qu'ils livraient leurs impressions sur la rencontre Algérie-Egypte. Plus grave, le Tunisien Hichem Khelassi a carrément censuré toutes les images ou les drapeaux algériens qui apparaissaient notamment sur les stades. Pour faire croire au monde qu'elle n'est pas du côté des Egyptiens, Al Jazeera Sport a annoncé que la chaîne qatarie n'a pas obtenu les autorisations de diffusion du Caire et d'Alexandrie. Mais juste à la fin du match, surprise, le contact est rétabli du Caire et c'est même le chef du bureau d'Al Jazeera Sport, Djamel Halil, lui-même, qui fera le direct avec une immense joie. «Curieux qu'Al Jazeera obtienne l'autorisation juste après la victoire de l'Egypte», écrit un confrère. Nous avons relevé durant cette CAN, les attaques dirigées par les Tunisiens Trak Diab et Hichem Khelassi contre nos analystes Bira et Benchikha qui mettaient en valeur la prestation de nos représentants. Les Tunisiens traitaient presque de vulgaires nos joueurs et donnaient des bons points aux joueurs de Shahata. Pendant ce temps, l'Algérie fêtait la prestation de son équipe nationale, et là, ils ne peuvent rien faire. Pas de censure. H. H. Lire sur Internet