Coopération bilatérale sur les questions d'intérêts communs d'ordre économique et politique au menu de cette session, lutte antiterroriste, la sécurité et la paix dans le monde, les changements climatiques pour ne citer que ces derniers. Coopération économique et consulaire Celle ci connaissant une cadence soutenue entre Londres et Alger, elle est appelée à se consolider dans le cadre de ces concertations régulières permettant de booster de nouvelles oies et de siaisr au mieux les opportunités par les deux pays. Pour la partie londonienne qui via son secrétaire chargé des affaires politiques de son ambassade à Alger, M. Barrie Peach, lors de l'inauguration en mai dernier, de son nouveau siège a soutenu que son pays « est l'un des plus grands investisseurs en Algérie avec une valeur d'investissements de plus de 30 milliards de livres sterling et plus d'une centaine d'entreprises opérant dans divers secteur en particulier les hydrocarbures ». Une coopération économique qui pour le porte-parole régional du Foreign Office, M. Martin Day déclarant, février dernier, qu'Alger « est le premier partenaire de la Grande Bretagne en Afrique du Nord » indiquant que les exportations de la Grande Bretagne s vers le marché algérien durant la période d'octobre à janvier 2009 a été de l'ordre de 283 millions de livres sterling et les importations d'une valeur de 497 millions de livres sterling pour la même période. Autre facteur et pas des moindres permettant à la coopération économique entre le Royaume Unis et l'Algérie de se consolider d'avantage, le dialogue politique serein et responsable entre ces deux derniers. Il s'agit de positions politiques déroutées évoquant le climat « d'insécurité » en Algérie par certains des partenaires européens de Londres qui sont absentes par contre du discours politique de la Grande Bretagne Royaume Unis. Rappelons que le porte-parole régional du Foreign Office, M. Martin Day a eu à indiquer à partir d'Alger que la Grande-Bretagne a « pris position » de ne pas inscrire l'Algérie sur la liste des pays à risque. Ce qui est en premier lieu un signal fort à l'adresse des investisseurs Anglais et via leurs partenaires de part le Monde. Pour sa part , Le Duc de York, le prince Andrew a, au courant de sa visite à Alger mai dernier, indiqué que les relations algéro-britanniques se développent « rapidement, se renforcent et se consolident ». Par ailleurs, le Prince Andrew a eu à assurer que les responsables londoniens affichent une réelle volonté à ?uvre avec leurs homologues algériens à faciliter la circulation des personnes entre les deux pays, canal visant à soutenir considérablement la coopération à différents niveau et domaines. A ce propos et à partir d'Alger Le Prince Andrew a indiqué que « nus attendons du personnel de l'ambassade des prestations de qualité et la réalisation des objectifs en matière de coopération bilatérale » et qu' Il s'agit « d'aider les ressortissants britanniques basés en Algérie et les Algériens qui souhaitent se rendre au Royaume-Uni ». Ce qui devrait se traduire par de nouvelles mesures voire de nouvelles voies à booster liées à cette question, notamment en relation avec le secteur de la recherche scientifique, le monde universitaire, le secteur de la justice pour ne citer que ces derniers enregistrant une coopération soutenue. Coopération dans la lutte antiterroriste Dossier lourd sur la table de cette quatrième session du comité biltatérale dont les derniers développements liées au rôle joué par l'axe ParisBamako. Ces derniers cédant au marchandage des terroristes d'Al Qaida Maghreb par la libération des terroristes détenus par le Mali et la libération de l'ex-otage français par les terroriste, un précédant qui met à mal la coopération régionale et voire même internationale dans la lutte anti-terroriste. Ceci de surcroît au vue de la ferme et responsable position d'Alger et de Londres de ne pas céder aux exigences des terroristes d'Al Qaida Maghreb dans la gestion des prises d'otages. A ce propos il est à rappeler qu'en juin dernier, Al Qaida Maghreb avait assassiné l'otage e Britannique Edwin Dyer qu'elle retenait depuis janvier 2009. Alger n'a pas manqué de « condamner cet acte terroriste lâche et odieux » et présentant ses condoléances aux britanniques, gouvernement, peuple et à la famille du défunt a salué le rôle politique joué par Londres dans la gestion de ce dossier. A ce propos, le département de M. Medelci a émis un communiqué en juin dernier, ou, il est questqion que « L'Algérie rend hommage au Gouvernement britannique pour la grande fermeté et responsabilité dont il a fait preuve dans la gestion de ce dossier en refusant tout marchandage et versement de rançon qui aurait servi au financement des activités subversives et déstabilisatrices, menées dans la région, par ce groupe terroriste ». La quatrième session du comité bilatérale devrait sans nul doute mettre l'accent sur l'intensification de la coopération internationale et plus pertinemment s ‘agissant du respect des accords bilatéraux et multilatéraux en vue de se prémunir des effets de surprises de certains partenaires dans le cadre de la lutte contre le terrorisme. Un dialogue et une concertation bilatérales intenses entre Alger et Londres autour de la gestion des crises dues à la prise d'otage par les terroristes d'Al Qaida visant la promotion de la fermeté à ne pas céder aux marchandages. Ce qui devrait sans nul doute avoir ses répercussions sur la scène européenne par le rôle de Londres dans cet espace et celui d'Alger s'agissant du Sahel et du Maghreb. A ce propos il est à rappeler que « se félicitant » de la coopération entre l'Algérie et la Grande-Bretagne, en ce qui concerne la lutte anti-terroriste , M. Day a eu à préciser que son gouvernement « ambitionne d'élargir davantage cette coopération entre les deux pays». Ajoutant dans ses propos tenus à quelques semaines de la tenue de cette quatrième session «il ne pourrait pas y avoir de solution au phénomène du terrorisme sans coordination internationale et coopération entre les différents pays». Londres aviat considéré selon le Foreign Office, «qu'il n‘existe aucune raison justifiant l'inscription de l'Algérie sur la liste des pays à risque » tout en rappelant pertinemment que l'Algérie « n'est pas un pays exportateur de terrorisme » et au contraire « pionnière en matière de lutte contre le terrorisme qu'elle a combattu seule durant les années 1990.