Des citoyens du quartier Galloul, notamment, pour ceux qui vivent à proximité de ces monticules de saletés, montent au créneau de la manière véhémente leurs conditions de vie laisse à désirer. «En l'espace de quelques temps, cette cité, qui était l'une des plus propre, s'est transformée en un véritable dépotoir, à cet endroit, se trouve de tout : des cartons, des sachets en plastiques, des gravats de pierres… En vérité, ce sont les commerçants et les passagers qui viennent décharger leurs détritus, sans vergogne, sur l'espace public qui se trouve à proximité de la cité », nous dira, un riverain, qui s'est présenté à notre rédaction, il ajoute que les objets encombrants et les déchets ménagers sont entassés, formant des monticules d'ordures, ce qui a permis la prolifération des rats et autres rongeurs dangereux, ces derniers, pénètrent jusqu'à l'intérieur des immeubles, une vraie misère», a-t-il raconté. Le protestataire a, par ailleurs, indiqué que : «L'absence de tout entretien, a engendré cette catastrophe écologique, qui agresse notre environnement». Ajoutant que : «Des odeurs nauséabondes s'en dégagent, d'où la nécessité d'incinérer notamment les ordure, et se dégage la fumée incitant les riverains à fermer toutes les fenêtres à longueur de la journée, avec les risques que peuvent engendrés sur notre santé et de nos enfants », a-t-il déploré. Notre interlocuteur a tenu à préciser, en outre, que cette situation «catastrophique », perdure depuis une année. « La collecte des ordures, qui a toujours posé un problème, a empiré, surtout ces derniers jours, d'autant plus que, les bacs à ordures installés à l'entrée des immeubles, ont été volés. Même les plaques qui interdissent le rejet des ordures, ont été, également enlevées par des inconnus », a-t-il signalé. Un autre problème a été signalé, par notre interlocuteur, celui de l'absence de l'éclairage public qui fait défaut, l'obscurité envahit, pratiquement, tout le quartier, dès la tombée de la nuit. Ajoutons que la circulation devient encombrante, avec le manque de ralentisseurs «dos d'ânes» à l'entrée et à la sortie de la cité. S'ajoute, une déficience cruciale d'aires de jeux pour les enfants» a-t-il déclaré. Pour mettre un holà à cet état de fait, les résidants de la cité 412 logements à Hai Galloul, lancent un appel aux les autorités locales, notamment, les services de la commune, de se pencher, sérieusement, sur leur cas, et cela, par le transfert de cette décharge, à un autre endroit, pour la décharge des ordures, ainsi que l'installation des dos d'ânes à l'entrée et à la sortie de la cité de même pour l'éclairage public, préconise notre interlocuteur.