, C'est parti. Des entraîneurs étrangers veulent une place au cœur des Verts. Les CV arrivent et arriveront encore. La cerise sur le gâteau. Un réveil brutal qui n'étonnera personne. Il devrait même y avoir ceux qui n'ont rien avoir avec le football qui se mêleraient pour pousser ceux qui savent à peine combien pèse un ballon, à déposer leur CV. L'essentiel pour ces personnes et que la Fédération algérienne de football ouvre ses portes à un étranger. Tous se disent être partant pour remplacer Rabah Saâdane et vont même jusqu'à déclarer sur les chaînes de radio étrangère qu'ils ont d'excellentes relations avec le président de la FAF, à l'image de l'entraîneur franco-ivoirien, Philippe Troussier. Quelle erreur de stratégie que d'annoncer ses relations avec le patron du football algérien. Que peut bien signifier ce message sur les ondes d'une chaîne étrangère ?! Sur RMC, il répondra à une question de l'animateur sur l'intérêt qu'il porterait à l'Equipe nationale algérienne, il répondra sans hésité, «je suis disponible et candidat pour le poste de sélectionneur de l'Equipe d'Algérie. Je suis prêt à relever ce challenge». Une déclaration qui sonne comme un message en direction de la FAF. «Je n'ai pas été contacté même si j'entretiens de très bonnes relations avec le président de la Fédération algérienne, Mohamed Raouraoua», a ainsi ajouté Philippe Troussier qui souhaiterait terminer sa tournée par l'Algérie puisqu'il a fait un passage en Afrique du Sud, au Maroc, Nigeria, Burkina Faso et Qatar puis au Japon. Il lui manque l'Algérie. C'est comme ces hommes qui veulent comptabiliser pour le plaisir de faire leur parcourt. Peut-être que pour lui, l'Algérie serait la fin de son parcours à 55 ans. Nos sélectionneurs peuvent bien prendre en charge notre onze pour plusieurs raisons. D'abord, ils sont Algériens, ils ressentent ce que les joueurs ressentent ensuite parce que nos locaux sont aussi compétents que tout étranger. On est en 2010, c'est l'année de la professionnalisation alors…