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Immobilier: Les parties communes, toujours un casse-tête
Publié dans Le Quotidien d'Oran le 31 - 07 - 2011

En l'absence d'administrateurs des biens immobiliers, les parties communes d'un nombre important d'immeubles sont investies illicitement par des indus occupants.
Si pour les immeubles appartenant toujours à l'OPGI, la force publique intervient parfois pour déloger les occupants, pour les immeubles dont les logements ont été cédés par l'Etat à partir de 1981, seuls les copropriétaires sont aptes à se défendre.
A Oran, au même titre que les autres villes du pays, après les caves, les séchoirs et autres buanderies collectives, transformés en luxueux F2, voire F3, ce sont les terrasses, même inaccessibles, qui abritent des baraques de fortune. C'est l'exemple d'une cité à Maraval composée de deux blocs et dont les deux terrasses abritent actuellement plus d'une dizaines de constructions illicites. Le phénomène a débuté il y a une dizaine d'années en raison de l'absence d'un responsable en charge des deux blocs, appelé jadis syndic, remplacé par la fonction d'administrateur des biens immobiliers, mais dont le nombre se compte sur les doigts d'une seule main à Oran. Pourtant, cette cité était considérée parmi les mieux entretenues à Oran, et ce sous l'impulsion d'un comité de cité qui a pu entretenir et créer des espaces verts tout autour de la cité, des aires de jeux ainsi que de stationnement.
La gestion des parties communes ne relève plus de l'OPGI, ex-propriétaire des lieux, qui s'en est déchargé à partir de 1981 avec l'avènement de la cession des biens de l'Etat. Or, cette opération devait être accompagnée de l'installation, au niveau de chaque ensemble immobilier, d'un administrateur dont la mission est de gérer les parties communes, de s'occuper de la maintenance des équipements tels les ascenseurs, les pompes à eau et l'éclairage des cages d'escalier, contre une rémunération versée par chaque locataire au titre des charges mensuelles.
Le même décor est observé dans une autre cité, avec en plus des transformations apportées sur les balcons, dont des parties ont été annexées aux chambres et chacun à sa façon.
Dans tout Oran, on ne compte que quelques administrateurs désignés par l'assemblée des copropriétaires sur la base d'un cahier des charges établi par les deux parties. C'est l'exemple de la tour de la cité des Falaises, sur le boulevard du 19 Mars, qui présente un exemple de gestion unique à Oran. Propreté, alimentation en eau régulière même pour ceux qui occupent le 21e étage, la fermeture de l'entrée de l'immeuble le soir et un gardiennage sûr des véhicules… sont des paramètres qui ont engendré la hausse de l'immobilier dans cette tour.
A lire le contrat de copropriété, les travaux d'entretien sont à la charge des occupants des lieux, avec des conditions strictes stipulant clairement que nul n'est autorisé à effectuer des modifications sur la façade et le ravalement de cette dernière est une œuvre collective confiée à un opérateur pour garder l'esthétique de l'immeuble.
A l'OPGI, l'intention de remettre les choses en ordre, avec l'installation d'administrateurs, ne date pas d'aujourd'hui. Devant la dégradation de ce patrimoine, les pouvoirs publics se substituent aux copropriétaires en lançant des projets de réhabilitation à coup de milliards.


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