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BLIDA: L'autre conséquence des «ralentisseurs»
Publié dans Le Quotidien d'Oran le 26 - 01 - 2014


D'aucuns se demanderaient quel lien existe entre un ‘ralentisseur' et la pluie, mais ce lien existe et cause des désagréments certains, aussi bien aux automobilistes qu'aux piétons. En effet, dans de très nombreux cas, ces ‘ralentisseurs', dos d'ânes, de chameaux ou de tout ce qu'on veut, sont installés, sans étude ni sérieux, juste parce que des citoyens ont bloqué la route après un accident mortel survenu en cet endroit. Personne ne pourrait ignorer l'utilité de ces ralentisseurs, surtout pas les ‘bons' conducteurs, mais c'est la manière de les installer qui laisse à désirer. En effet, nous avons remarqué de véritables mares qui se forment dès que la pluie tombe un peu et cela, juste en amont des ralentisseurs car celui qui les a placés, là, n'a pas pensé à l'eau de ruissellement qui ne trouve pas d'issue. L'eau, bloquée par ce barrage, constitue parfois de véritables mares qui empêchent le pauvre piéton de les traverser car le trottoir est soit inexistant, soit squatté. Quant aux conducteurs de véhicules, ils se demandent ce qu'il peut bien y avoir au fond de cette eau boueuse et n'abordent la ‘mare' que de manière très prudente, et ils ont raison ! Mais le problème réside en le bouchon qui se forme alors, avec toutes les voitures qui circulent. Il aurait pourtant suffi que les ouvriers qui ont installé le ralentisseur prévoient une petite ouverture des deux côtés, et même une autre au milieu, pour que l'eau circule, évitant tous ces désagréments aux piétons et aux véhicules. Il y aussi tous ces nid-de-poule qui parsèment les rues ou routes et qui peuvent causer des dangers mortels pour les conducteurs de véhicules et leurs passagers. Là aussi, les services municipaux ou ceux de la DTP peuvent concourir à la préservation de vies humaines en faisant le travail, convenablement. En effet, si les trous dans les chaussées dans les quartiers ou les rues à l'intérieur des villes sont une source de gêne pour les utilisateurs, les nids de poule que nous trouvons sur les routes nationales et à grande circulation, sont un danger mortel pour les automobilistes. Si nous prenons uniquement l'exemple de la RN 29, au niveau de Ghabet Gros, à quelques centaines de mètres de l'entrée du CET, existent plusieurs nids de poule à la droite de la chaussée en venant de Soumaa. Là, et même si la vitesse est limitée à 80 km/h, la voiture dont les roues entrent dans ce véritable trou peut subir des dommages assez importants et dévier de sa trajectoire pour aller emboutir un véhicule qui viendrait en sens inverse. Ceux qui connaissent cette gêne dévient vers leur gauche, se rapprochant très dangereusement des autres véhicules qu'ils croisent, ce qui pourrait entraîner des accidents forts graves. Là aussi, c'est juste le travail de deux personnes durant 10 minutes qui est nécessaire pour éviter des drames qui pourraient endeuiller même ceux qui sont en charge de ces réfections et qui les oublient.

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