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Être étudiant en première année de licence
Publié dans Le Quotidien d'Oran le 17 - 03 - 2014

Le cas des étudiants du département des Lettres et Langue anglaise, Faculté des Lettres et des Langues de l'université de Constantine 1.
2ème partie
IV. MISE A PROFIT DES RESSOURCES QU'OFFRE LEUR DEPARTEMENT.
Ces ressources sont de deux types, matériels et humains. Les bibliothèques et, pour des étudiants de langue étrangère, les laboratoires de langues constituent les ressources matérielles les plus évidentes. Leur utilisation et leur mise à profit ont tout naturellement intéressées la présente étude. Les enseignants, ressource humaine par excellence, ont été l'autre pendant de cet intérêt.
- Les bibliothèques.
L'environnement immédiat du Département des Lettres et Langue Anglaise est riche d'une bibliothèque de faculté et d'une grande et magnifique bâtisse circulaire, la bibliothèque centrale, elle-même hôte d'une ressource documentaire supplémentaire, ‘l'American Corner'.
L'utilisation et la mise à profit que les étudiants de première année de licence ont, en ce premier semestre de leur parcours universitaire, fait de la première se résument en un mot : aucune. L'accès à la bibliothèque de faculté, réservé à leurs ainés, leur en est interdit. Leur fréquentation et leur jouissance de ce qu'offre la bibliothèque centrale qui leur est pourtant ouverte est à peine meilleure comme l'indique le tableau suivant basé sur les réponses des 223 étudiants de l'échantillon de l'étude11 :
Bien évidemment, ces données devraient être sources d'inquiétude quand on sait la place du livre dans la culture universitaire et « le rôle de la lecture dans l'enseignement du pouvoir des mots dans l'élaboration d'une vision du monde »12 . Même si une telle absence de culture du livre ne saurait être imputée à l'institution universitaire, cette dernière ne devrait néanmoins pas se satisfaire de la seule offre d'un espace stocké d'ouvrages et aux portes ouvertes à tous comme seule contribution à la naissance et à la promotion d'un éventuel intérêt pour la lecture. En attendant que plus soit fait, les bibliothèques universitaires continueront de sommeiller par manque d'imagination13 !
- Les laboratoires de langues.
« Quand dans la salle de classe ordinaire le maitre s'adresse à un étudiant les autres ne peuvent au mieux qu'écouter ; alors que dans le laboratoire de langues tous peuvent participer simultanément à la conversation, ce qui intensifie et accélère le progrès d'un cours collectif »14 , affirmaient déjà avec raison les pionniers de la généralisation de l'introduction des méthodes audio-visuelles dans l'apprentissage des langues étrangères vers la moitié du siècle passé.
La Faculté des Lettres et des Langues abrite 5 laboratoires de langues. En outre, la jouissance de ces espaces s'est, parmi les départements de la faculté, traditionnellement restreinte au seul Département des Lettres et Langue Anglaise. En d'autres termes, 5 laboratoires de langues auraient, tout au long de ce premier semestre, pu être offerts en ‘partage pédagogique' à 522 étudiants.
Ratio somme toute honnête. Pourtant, les réponses des étudiants de l'échantillon de l'étude quant à l'usage effectif qu'ils ont fait de cette ressource durant le premier semestre laissent apparaitre que seuls les étudiants de 2 des 11 groupes couverts 34 étudiants sur 223, soit 15.24% de l'échantillon de l'étude en ont utilisés les espaces. Ressource gaspillée dont, au contraire de la bibliothèque, les étudiants ne sauraient être tenus pour responsables, ni même en partager la moindre responsabilité, l'accès aux laboratoires de langues étant strictement soumis à l'approbation et à la programmation de l'administration du département qui en détient les clefs.
- Les enseignants.
Le Département des Lettres et langue Anglaise compte, en cette année universitaire 2013-2014, environ 165 enseignants15 dont 63 soit 38.18%, entre professeurs et assistants, sont permanents, et 102 soit 61.81%, majoritairement inscrits en doctorat, sont vacataires.
S'il est fait fi des jumelages de groupes et que le décompte du corps enseignant pratiquant en première année de licence est fait sur une simple base arithmétique qui assigne un enseignant par groupe par module c'est au bout du compte ce dont les étudiants font l'expérience dans leur salle de classe , un total de 140 enseignants est nécessaire pour satisfaire à la couverture, pour 14 groupes, des 10 modules qui font la première année de licence.
Le tableau ci-dessous donne une indication16 , par unité d'enseignement et intitulé de module, de la répartition entre enseignants permanents et enseignants vacataires de ces 140 enseignants:
Ainsi, selon le tableau ci-dessus, des 140 enseignants de première année de licence, 41, soit 29.28%, seraient permanents, et 99, soit 70.71%, seraient vacataires. En d'autres termes, le déséquilibre de départ dans les ressources humaines du département entre enseignants permanents et enseignants vacataires serait aggravé lorsqu'il s'agit des premières années de licence ; tellement que l'on peut imaginer la situation où un groupe d'étudiants n'aura jamais fait l'expérience d'une classe avec un enseignant permanent durant la première année de son parcours universitaire.
Ce choix d'enseignants majoritairement vacataires pour enseigner en première année de licence, qu'il soit fortuit ou réfléchi17 , se double d'une très faible fidélisation, d'année en année, à un enseignement donné de ces enseignants qui, il faut bien le dire, malgré toute leur bonne volonté et leur application18 , débutent. Cette fidélisation aiderait pourtant l'acquisition d'une assurance, d'un savoir et d'un savoir faire souvent aléatoires surtout en début de carrière. Elle pallierait en outre peut-être un peu l'absence de toute formation psychopédagogique d'environ 42, soit près de la moitié, des enseignants vacataires de première année de licence dont les spécialités en sont dépourvues et qui, paradoxalement, n'ont que leur propre expérience d'étudiants pour donner du sens à leur nouveau statut d'enseignant. Elle aurait atténué enfin l'impact, certes ponctuel, de l'absence quasi généralisée de concertation pédagogique entre les enseignants, même à l'intérieur d'un même module, qui aura caractérisé le déroulement de ce premier semestre.
V. ECOUTE FACE AUX PROBLEMES QU'ILS ONT PU RENCONTRER DURANT LEUR PREMIER SEMESTRE AU DEPARTEMENT.
Sur les 223 étudiants interrogés, 14, soit 6.27% de l'échantillon concerné par l'étude, disent n'avoir fait face à aucun problème durant leur premier semestre au département. Retranchés de la population de l'étude, ce groupe d'étudiants ‘sans problèmes' laisse 209 étudiants, soit 93.72% de l'échantillon, qui disent avoir eu à faire face à quelque(s) problème(s) durant leur premier semestre.
Ont-ils trouvé une écoute face à ce(s) problème(s) ? Voici ce que montrent leurs réponses :
D'abord, il est important de s'en inquiéter, 73 étudiants, soit 34.92% de l'échantillon de l'étude, disent n'avoir trouvé aucune écoute quand ils ont fait face à un problème. Ensuite, pour les 136 étudiants, soit 65.07% de l'échantillon de l'étude ayant trouvé une écoute face aux problèmes rencontrés, la source de cette écoute se subdivise comme suit :
Résultat d'un choix initial délibéré ou d'un choix fait au corps-défendant des étudiants, les données ci-dessus montrent, en même temps qu'une faible présence de l'administration 23.52% des réponses une disponibilité des enseignants 22.79% des réponses qui est à mettre à leur actif. Pourtant, même additionnées, ces sources d'écoute en cas de problème ne semblent pas égaler celle que représente la présence d'un ami dans les moments difficiles. L'installation effective du système du tutorat, inexistant au Département des Lettres et Langue Anglaise même s'il est institué par le LMD, aurait peut-être aidé au dépassement de cette situation.
VI. ATTENTES DE L'INSTITUTION UNIVERSITAIRE.
L'attente, enseigne la psychologie, est une capacité animale et humaine à anticiper un évènement à venir. Chez les étudiants de première année de licence, cette attente a concerné l'université et l'approximation mentale qu'ils se sont fait, bien avant que d'y être, de leur présence dans son espace.
L'intérêt de l'identification de l'état de satisfaction de cette attente dans une étude qui traite de ce qu'être étudiant de première année de licence signifie, est suggéré par les travaux qui, depuis les précurseurs de la psychologie cognitive19 , montrent les frustrations qui naissent de ces attentes insatisfaites. Ces frustrations si elles existent, auront pour les étudiants de première année de licence, une influence sur leur apprentissage.
6 étudiants, sur les 223 questionnés, soit 2.69% de la population de l'étude n'ont pas répondu à cette question. Les 217 étudiants restant ont exprimé une opinion quant à la satisfaction de ce qu'ils attendaient de l'institution universitaire. Voici leurs réponses :
Les données ainsi révélées n'incitent à aucun commentaire sinon qu'elles s'ajoutent à celles du tableau précédant et disent peut-être, en même temps que la déception de la majorité de ceux qui attendaient, l'absence de ceux et ce qui étaient attendus.
VII. UN MOT POUR DIRE L'INSTITUTION UNIVERSITAIRE.
Alors que la question permettait un mot et un seul, le premier, qui leur venait à l'esprit pour dire l'institution éducative dans laquelle ils se trouvaient, beaucoup d'étudiants de l'échantillon, sans doute emportés par leur enthousiasme, en ont proposé plus d'un. Seul le premier a été retenu.
En outre, 11 formulaires de réponses ont dû être écartés suite au dépouillement ; 9 parce qu'ils étaient vierges et ne proposaient rien, et 3 parce que leur contenu était illisible. Les 211 propositions restantes soit 90.55% de l'échantillon de l'étude ont alors été relevées puis classées.
Comme c'est souvent le cas quand il s'agit d'une question ouverte, la multiplicité des réponses possibles pouvait rendre toute catégorisation, sinon pour celles où les termes utilisés étaient strictement les mêmes et qui pouvaient être classées sur la base même de la récurrence de ces termes, difficile sinon tendancieuse. Afin d'éviter cet écueil, la méthodologie utilisée pour le dépouillement des réponses à cette question a pris la forme d'abord d'une identification puis d'un classement des réponses où les termes utilisés étaient strictement les mêmes en deux champs sémantiques contrastés exprimant une connotation plutôt positive ou plutôt négative envers l'institution universitaire, puis de l'élargissement progressive de cette analyse aux réponses plus diversifiées pour les soumettre au même classement20 .
Le tableau suivant montre, après relevé et analyse, le classement des propositions :
Ainsi, malgré une présence non négligeable de réponses à connotation plutôt négative, c'est donc plus une idée positive, une bonne idée de l'institution universitaire qui se dégage des réponses des étudiants de l'échantillon de l'étude, le premier mot venant à l'idée de plus de la moitié de ceux-ci lorsqu'ils pensent à cette institution ayant une connotation positive.
Plutôt que de faire un état fastidieux de chacune des propositions de chaque catégorie que le lecteur retrouvera en notes21 , le tableau ci-après note, après leur identification puis leur classement, pour chacune des catégories positive et négative, les trois premières propositions à la plus forte fréquence :
Reste à mentionner les réponses instituant la catégorie ‘difficile à apprécier' - les filles, le matériel, la cité universitaire -, mention somme toute facile de par le nombre restreint de leurs composants, laissés à l'appréciation de chacun.
Ainsi, et pour résumer l'analyse des éléments de réponse proposés pour cet item, l'étude, le savoir et le succès l'emportent donc sur la dureté, la fatigue et l'ennui, pour dire, dans la tête des étudiants de première année de licence du Département des Lettres et Langue Anglaise de l'Université de Constantine 1, l'institution éducative dans laquelle ils se trouvent. Généreuse motion de confiance envers elle, que qualifient peut-être plus avant les souhaits de changements exprimés en réponse à la question de l'item suivant. A suivre
* Professeur au Département des Lettres et Langue Anglaise, Faculté des lettres et des Langues, Université de Constantine 1. Auteur de Ecrits Epars-Liés (1989-2009), Alger, El Dar El Othmania, 2010, et de L'Université de L'Enigme au Puzzle : Une Introduction à la Méthodologie du Travail Universitaire, Constantine, OPU, 2012.
9- L'évaluation du module de méthodologie n'est pas sanctionnée par un contrôle de fin de semestre, mais par une note de TD qui couvre la totalité du travail de l'étudiant en classe tout au long du semestre.
10- Ibid.
11- Sur la population de l'échantillon de l'étude, seuls 37 étudiants, soit 21.59%, disent avoir lu un livre autre que le seul livre qu'ils devaient obligatoirement lire pour leur classe de littérature dans le cursus de leurs études en ce premier semestre. 25 d'entre ces étudiants faisaient partie d'une sorte de groupe expérimental poussé à lire par l'un de ses enseignants.
12- Senior, C. (2005) Getting the Buggers to Read, London, Continuum, p.7. (Notre traduction.)
13- Nous paraphrasons bien évidemment ici le poète qui pense que « le monde sommeil par manque d'imprudence ».
14- Buyssens, E. (non daté) Direct Contact, Belgium, IVAC.
15- Si le décompte des enseignants permanents ne pose aucun problème, celui des enseignants vacataires qu'aucun contrat sinon moral ne relie au département est, par le caractère mouvant de cette population, plus difficile à proposer de manière sûre. Cette ‘mouvance' a, entre autre, pour corollaire l'abandon de classes en courant d'année.
16- Il est nécessaire d'insister ici que ces chiffres et ces pourcentages ne doivent être pris que comme des indicateurs d'une tendance générale, le caractère flottant des affectations des enseignants, peut-être dû à la qualité de vacataire pour leur plus grande part, rendant leur maîtrise difficile.
17- Tout porte pourtant à croire que ce choix est réfléchi, la logique y présidant étant celle qui laisse penser que les étudiants de première année, débutants, ont moins besoin ‘d'expertise' que leurs camarades des années supérieures. De plus, une idée heureusement faiblement répandue parmi le corps enseignant permanent dont l'installation permet un choix plus affirmé du niveau auquel ils sont affectés, est qu'une affectation en première année de licence correspond à la perte d'un statut chèrement acquis à force de diplômes et d'années de service.
18- Qu'il me soit permis de souligner ici tout le respect que cette catégorie d'enseignants mérite pour son abnégation, sa bonne foi, sa disponibilité et sa soif d'apprendre. En vérité chargés de cours sans même le réconfort de la supervision d'un enseignant permanent, souvent affectés à l'enseignement de plus d'un module parfois même à des niveaux de licence différents, ces enseignants vacataires sont pour ainsi dire ‘jetés du côté profond de la piscine' et doivent apprendre à surnager seuls les vagues des aléas pédagogiques qu'ils rencontrent.
19- Cf. par exemple: E.C. Tolman, (1948) ‘Cognitive Maps in Rats and Men' in Classics in the History of Psychology, first published in The Psychological Review, 55(4), 189-208. An Internet Resource Developed by C.D. Green, York University, Toronto, Ontario. In http://psychclassics.yorku.ca/Tolman/Maps.htm.
20- Ce classement reste bien évidemment discutable. C'est pourquoi, par souci d'objectivité la totalité des propositions recueillies suivie de leur fréquence est proposée en notes ci-dessous.
21- Propositions à connotation positive : études(23), savoir(16), succès(16), avenir(13), diplôme(10), Liberté(6), travailler dur(5), responsabilité(4), anglais(4), rêve(3), éducation(3), espoir(2), sagesse(1), expérience(1), emploi(1), grandir(1), environnement parfait(1), passeport(1), major de promotion(1), un professeur(1), assurance(1), haute valeur(1), être conscient(1), civilisation(1), le top(1), la moyenne(1), classe(1), TD(1), apprendre(1).
Propositions à connotation négative : dureté(9), fatigue(9), ennui(8), problèmes(5), souffrance(4), horreur(4), mauvais(4), anarchie(3), injustice(3), patience(2), déception(2), échec(2), tristesse(2), haine(2), enfer(2), catastrophe(2), enseignants(2), oh mon Dieu(2), indécence(1), drame(1), Chômage(1), bruit(1), l'abandon(1), très mal(1), une blague(1), misérable(1), déprime(1), stress(1), déviation(1), être perdu(1), éloignement(1), la fin de tout(1),rien(1), oh(1), oufff(1), ouch(1), Dieu ai pitié(1).


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