A la maison IRBM, les assemblées se suivent et se ressemblent. La dernière en date qui a eu lieu il y a quelques jours n'a pas dérogé à la règle, car reportée une premiere fois faute de quorum avant de se dérouler sans la présence des membres du CSA et de la plupart des membres de l'AG, hormis le président Kamli Abdelaziz qui a vu ses bilans moral et financier approuvés, alors que le club a rétrogradé. Sollicité, l'ancien baroudeur de l'IRBM, Layati Djamel dont le seul souci est de remettre le club sur rails après cette indifférence totale dont il fait l'objet après sa rétrogradation, dira : « Bien que les bilans moral et financier soient négatifs, nous avons jugé utile de les approuver afin de permettre l'entame de la nouvelle saison vu que le club accuse un retard considérable. Nous avons demandé au président du CSA de démissionner au même titre que tous les autres membres du bureau, afin d'organiser une assemblée générale élective, mais ce dernier a refusé du fait que son mandat est toujours en cours. Mais sur insistance des présents à cette AGO, il a promis de quitter le navire après l'engagement du club auprès de la ligue ». En attendant, les interrogations fusent de partout concernant la tenue de l'AGO où beaucoup de zones d'ombre subsistent. L'IRBM se trouve à présent à la croisée des chemins. Mais l'espoir demeure d'autant qu'il y a encore des hommes capables de redresser la situation mais ces derniers exigent le départ pur et simple du bureau actuel qui a failli à sa mission. Il n'est jamais trop tard pour bien faire, mais tout est à revoir dans ce club. A commencer par la composante de l'assemblée générale, changer complétement de politique et œuvrer pour la formation des jeunes pour assurer l'avenir du club. Aussi, mettre à la tête des catégories jeunes des entraîneurs compétents, voire des éducateurs.