Le tribunal criminel de Relizane a statué sur le crime perpétré sur le jeune DM âgé de 32 ans dans la localité de Mendes, commune distante à 38 km du chef-lieu de la wilaya de Relizane. Ainsi, les faits remontent au 25 juillet passé quand trois personnes, les deux accusés et la victime se sont rencontrées pour consommer de l'alcool, une dispute surgit sur un ancien différend qui avait laissé des séquelles que seule cette rencontre pourrait décrypter le code. H. Hamza âgé de 31 ans s'empara de son arme et donna un coup au bras droit de sa victime alors que son complice RA âgé, lui de 30 ans, assena deux autres coups à la victime à l'aide d'un grand bâton, le blessé a réussi à courir plusieurs mètres en essayant d'arrêter le sang de sa veine coupée en deux mais hélas le corps était vidé de sang. La défense a voulu imputer le crime à l'arme blanche utilisé par le premier accusé en dépit de cette phrase avant que la victime ne rendit l'âme en acclamant que hamza est l'auteur de son meurtre toutefois les coups et traces de coups retrouvés sur le corps de la victime ne laissent aucun doute aux magistrats et au Ministère public que les deux accusés ont contribué au meurtre de l'infortuné. Le représentant du ministère public dira en substance que l'acharnement des deux accusés matérialisé par les coups assainis à la victime ne devra pas être oilles par les magistrats lors de leurs délibérations car aussi bien le couteau que la canne ont toutes les deux contribué à perpétrer le crime et de ce fait la responsabilité des deux personnes au box des accuses est entière avant de requérir la peine de mort pour le premier et la perpétuité pour le second. Le tribunal criminel qui a lu les dispositions de l'article 207 du code de procédure pénale qui permet aux membres du tribunal criminel de n'entendre lors des délibérations qu'à leurs intimes convictions. Le verdict prononcé après plus d'une heure de délibération était de 18 ans pour H. hamza et 10 ans pour le second, assorti de 110 millions au titre de dommages et intérêts aux ayants droits.Les magistrats et jurés ont suivi avec attention les témoignages sur les faits de ce drame.