Tissemsilt En l'absence d'un vrai contrôle Un produit gazeux et douteux en circulation Avec l'approche de l'été, le commerce des boissons gazeuses se multiplie et on commence déjà à remarquer les camions des livreurs et autres fournisseurs sillonner les quartiers pour proposer leurs produits. Cependant le fait saillant c'est que ces produits, qui sont livrés au prés des commerçants il semblerait qu'il des fabricants qui ne respectent pas les normes de commercialisation. Une petite illustration d'un produit de boisson d'orange artificielle dénommé ‘'ghzeyel'' d'une contenance de 1,5 litres, qui a nouvellement pris place sur les étalages de certains commerçants ou tout le monde a pu remarquer que sur la bouteille du dit produit, il n'est mentionné ni l'adresse du producteur, ni le siège social, ni les coordonnées du fabriquant ni la date de fabrication. Pis encore les seules petites inscriptions portées sur le bouchon ne sont pas lisibles et laissent croire aux plus soucieux des consommateurs que c'est un produit douteux qui doit interpeller les services de contrôle de la qualité pour agir au moins au niveau local afin de retirer les quantités déjà distribuées et obliger ce fabriquant à se conformer aux normes pour préserver la santé du consommat . A.OULD EL HADRI Tissemsilt L'état de la route du « dernier passage » L'inertie et le mutisme des responsables Depuis bien longtemps, la partie haute de la ville de Tissemsilt est toujours restée sans prise en charge effective, elle ne semble pas attirer l'attention des responsables qui n'hésitent pas à solliciter les habitants aux moments des élections mais une fois élues, ces personnes tournent le dos aux dizaines de milliers de citoyens qui les ont plébiscités. Ce sentiment se motive chez ces habitants en constatant que rien n'a changé concernant l'amélioration des conditions de vie et de la disponibilité des commodités nécessaires, en effet, ces mêmes citoyens s'interrogent sur l'inertie et le silence de ces responsables , sur l'état de la seule route qui mène au cimetière de la ville, certains l'appellent ‘'la route du dernier passage'' puisque tout le monde à Tissemsilt est obligé de l'emprunter un jour ou l'autre, pour assister à l'enterrement de l'un de ces proches ou amis. Son état est tellement dégradé qu'il est difficile d'y passer, des nids de poule, des tranchées, un érosion qui l'avait rendu semblable à une piste défoncée au point de ne voir que la terre et le sable. Selon les habitants, ce tronçon malgré les multiples requêtes adressées pour le prendre en charge, il ne semble pas attirer l'attention des responsables, ils n'ont jusqu'à maintenant pas eu l'occasion de savoir si c'est un oubli ou c'est le dernier de leurs soucis ? Pourtant cette route est la seule qui raccorde les deux extrémités de la ville, elle commence du point appelé Souk H'lima en passant au milieu du grand quartier Ederb, en arrivant au cimetière de la ville de Sidi El Houari, pour les habitants des cités Halil, Bentammar, Ghalem, l'auto construction, et autres, cette route est stratégique et sa réhabilitation est plus qu'une priorité, elle est une nécessité citoyenne d'ou ils interpellent encore une fois les responsables afin de se pencher sur la situation et ce problème qui mène la vie dure à toute une ville …..A.OULD EL HADRI