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Barack Obama au coeur d'un scandale sexuel?
Publié dans Réflexion le 13 - 05 - 2011

Un scandale à teneur sexuelle pourrait bientôt éclabousser le 44e président des Etats-Unis d'Amérique et prix Nobel de la paix de 2009, Barack Obama. En effet, selon certaines rumeurs qui circulent sur Interne.
Une rumeur court aux Etats-Unis, selon laquelle le président américain aurait entretenu une liaison extraconjugale en 2004, avec une jeune femme nommée Vera Baker,35 ans , son ex-assistante. Ces informations sont évidemment à prendre au conditionnel, mais si elles s'avèrent exactes, ce serait une véritable bombe que lâche le magazine Globe. Selon ce dernier, Vera Baker aurait été la maîtresse d'Obama , ancienne assistante lors de la campagne du candidat au siège de sénateur de l'Illinois en 2004, ils auraient été dans un hôtel après un meeting politique, selon le chauffeur qui les aurait transportés ; de plus, une caméra de surveillance aurait filmé la scène. Plus embêtant : Le magazine posséderait des mails compromettants échangés entre Vera et Barack Obama. Entre-temps, le Président américian aurait trouvé un job en or à son ex-assistante…
Manœuvre politique.
Le président américain fait l'objet d'allégations concernant une infidélité présumée. Il aurait eu une liaison avec une jeune femme en 2004. Mais l'article sent fortement la manœuvre politique.Beau, jeune, sportif et puissant. Normal que le président américain, Barack Obama, suscite les convoitises. C'est encore son épouse, Michelle, qui en parle le mieux: «Je veux dire à toutes ces femmes: «Bas les pattes! Faites votre vie. C'est très embarrassant tout ça!»Les récentes révélations du magazine américain Globe, cette semaine, semblent plutôt ahurissantes. Le journal revient sur une affaire datant de 2004. A l'époque, le futur sénateur de l'Illinois Obama (élu en novembre 2004) était soupçonné d'entretenir des rapports très proches avec Vera Baker, 29 ans, une Afro-Américaine qu'il connaissait depuis l'enfance. Cette dernière l'aurait aidé, selon le journal, à amasser des millions pour mener sa campagne sénatoriale en assurant le rôle de directrice financière.
Les nouvelles «preuves»
Seulement voilà, les soupçons de l'époque semblent prendre une tournure plus concrète, puisque le magazine affirme qu'il existe une vidéo de surveillance compromettante pour le président américain. Et d'apporter le vague témoignage d'un chauffeur de l'époque. Il aurait raccompagné le président et Vera Baker en limousine «stretch» à l'Hôtel George à Washington, après un meeting électoral.L'homme se souvient même de l'heure: vers 22 h 30. Il a déclaré au Globe: «Vera m'a prié de ne pas l'attendre, ni de la raccompagner chez elle. Il n'y a pas eu de signe qu'elle voulait quitter l'hôtel plus tard.» Cerise sur le gâteau: l'Hôtel George se trouve sur la Capitol Hill, toute proche du Capitole, le siège du Parlement américain.Qu'importe, ne s'agit-il pas tout simplement d'une manœuvre de déstabilisation politique? Le magazine persiste pourtant. Car, en plus de la révélation de l'existence d'une vidéo, il produit un document selon lequel des ingénieurs en informatique seraient sur la piste d'e-mails compromettants entre Vera Baker et le sénateur Obama.
Les pressentiments de Michelle Obama
Le journal en profite pour surfer sur des pressentiments. Ceux d'une femme: Michelle Obama. Elle avait rapidement soupçonné Vera Baker d'exercer un charme dangereux sur son mari en 2004. Jusqu'à la faire dégager en Martinique, loin de Barack Obama. Là-bas, elle travaille pour Cape Carribean LLC, à Fort-de-France. «L'arrivée inopinée de la jeune femme avait fait jaser. Michelle, jalouse, a tout fait pour la faire virer», commente Christopher Andersen, auteur du livre «Barack et Michelle: portrait d'un mariage américain», sorti en septembre 2009.Une jalousie nourrie par le comportement de certaines admiratrices durant la campagne présidentielle. «Ces femmes n'hésitaient pas à glisser leur numéro de téléphone dans les poches de Barack Obama ou à se frotter contre lui dès qu'elles en avaient l'occasion, lui soufflant quelques coquines suggestions à l'oreille», raconte Christophe Andersen.
La vraisemblable attaque politique
Barack Obama semble pourtant avoir toujours su garder son sang-froid. Notamment lors de meetings et de bains de foule alors que des fans féminines cherchaient à lui caresser le derrière. «Doux Jésus, j'espère qu'elles vont me lâcher les fesses», aurait-il même soupiré à sa femme, en remontant à l'arrière de son 4 x 4 de campagne.Alors comment expliquer ces récents crépitements sur une rumeur vieille de six ans? L'ombre d'une machination politique plane évidemment (lire encadré). Notamment parce que le récent succès d'Obama sur la réforme de la santé ne plaît pas à tout le monde.Et ses récentes déclarations sur le monde de la finance ont aussi de quoi froisser ses adversaires républicains. A l'occasion d'un discours prononcé la semaine dernière à l'Université Cooper Union de New York, Barack Obama a défendu avec vigueur son projet de réforme bancaire. Il veut interdire aux banques de «spéculer» pour leur propre compte. Devant des dizaines de hauts dirigeants d'institutions new-yorkaises, le président américain a dénoncé «les efforts furieux des lobbyistes de la profession pour façonner cette loi d'une manière qui serve leurs intérêts propres».Alors la une du Globe sent la manœuvre politique bon marché. D'autant que ce magazine n'en est pas à son coup d'essai dans ses rapports avec l'actuel président des Etats-Unis. En couverture, il avait déjà affirmé que l'élection de Barack Obama était illégale et qu'il était mêlé à un scandale gay.Beau, jeune, sportif et puissant. Normal donc que le président Obama suscite les convoitises. Et visiblement pas seulement celles de ses admiratrices, mais aussi celles des observateurs et adversaires politiques. Qui fantasment tout autant au sujet de l'homme le plus important du monde.
Est-ce que ça peut avoir un impact négatif?
Ces révélations extravagantes de Globe peuvent-elles abîmer la présidence de Barack Obama? «Mais non! Globe, c'est le type de torchon qui se vend au supermarché. Ce sont eux qui sortent des scoops sur les Martiens qui atterrissent. Même sur des sites comme drudgereport.com, qui rallie les opposants de droite les plus opposés à la politique de Barack Obama, il n'y a rien. Il faut se méfier», estime David Sylvan, professeur de relations internationales et spécialiste en politique étrangère américaine à l'Institut des hautes études internationales et du développement (HEID) à Genève.Pour son collègue Daniel Warner, politologue américain à HEID, «ces révélations sont toujours suspectes, surtout lorsqu'elles touchent une vieille affaire. C'est une énorme perte de temps, ça prend de l'énergie et bien entendu ça nuit à son pouvoir et à son autorité morale. Mais c'est une réalité des Etats-Unis, où la société s'intéresse beaucoup à la vie privée de ses politiciens. Je trouve qu'il y a des sujets plus importants.»Un avis que partage Boris Vejdovsky, qui enseigne la littérature et la culture américaines à l'Université de Lausanne: «On appelle Barack Obama Monsieur Téflon, c'est-à-dire que tout lui glisse dessus. Mais ces affaires sont toujours nuisibles. Même s'il fait preuve de probité et qu'il n'est pas naïf, il s'agit d'une instrumentalisation à un moment donné. Je vous rappelle qu'il n'y a pas eu de scandale à caractère sexuel qui a éclaté durant sa campagne, ce qui est très rare pour les Etats-Unis. Là, il faut se demander à qui profite le crime.»
Obama aurait commis à deux reprises l'acte abject
M. Obama aurait commis au moins à deux reprises l'acte abject et pervers d'avoir des relations sexuelles.Sa partenaire de débauche serait nulle autre que l'avocate Michelle Obama, née Robinson, une proche de M. Obama, qui l'a d'ailleurs épousée le 3 octobre 1992.Ces allégations contre M. Obama s'appuient sur le fait que le couple ait eu deux enfants depuis leur mariage, Malia Ann Obama en 1998 et Natasha Obama en 2001. Or, selon un biologiste renommé préférant garder l'anonymat, il est impossible d'avoir des enfants sans s'être d'abord livré à certains actes répréhensibles: «Si le couple a eu des enfants, c'est qu'il y a eu procréation. Or, de nombreuses études ont démontré de façon formelle que, sans relations sexuelles, il ne peut y avoir de procréation.»Si leurs enfants constituent bel et bien une preuve que le couple Obama s'est vautré dans le stupre, il est toutefois impossible d'en savoir plus sur les modalités exactes de leur dévergondage. «Tout ce que nous pouvons affirmer avec certitude, c'est que M. Obama a introduit son obélisque dans le jardin secret de Mme Obama, et qu'il s'y est adonné à un petit va-et-vient jusqu'à ce qu'orgasme s'ensuive.», poursuit le même biologiste, l'oeil pétillant.Ces allégations surviennent à un bien mauvais moment pour M. Obama, alors que Stephen Harper, le belliqueux premier ministre du Canada, pays voisin des Etats-Unis, concocte le projet alarmant de faire l'acquisition d'une flotte de 65 avions de chasse F-35.Selon le magazine le Globe, Barack et Vera auraient été surpris dans un hôtel, le chauffeur qui les a transportés en témoigne et les caméras de surveillance auraient également filmé quelques images des deux amants présumés entrant dans leur chambre. Selon le Globe, des mails compromettants impliquant Barack Obama seraient également en leur possession.Après Bill Clinton et Monica Lewinski, Barack Obama aura-t-il aussi à subir un Veragate? Michelle Obama aurait interdit à son mari de fréquenter la jeune femme selon d'autres rumeurs.
Un spam pour infecter les curieux
Un spam circule actuellement sur Internet et la messagerie électronique concernant un prétendu scandale impliquant le candidat à la maison blanche Barack Obama. Cet email malveillant prétend diriger l'internaute destinataire vers un site Web hébergeant une vidéo mettant en scène, et peu vêtus, Barack Obama et de jeunes ukrainiennes. Selon l'éditeur de sécurité Websense, la lecture de la vidéo provoque le téléchargement sur l'ordinateur d'un cheval de Troie permettant au pirate une prise de contrôle à distance et l'enregistrement des frappes clavier de l'utilisateur.
Apres l'affaire Monica, John Edwards
Quelques années après l'affaire Monica Lewinski, qui avait éclaboussé au visage Bill Clinton.... John Edwards, l'ex-colistier de John Kerry et ex-candidat des primaires démocrates, est soupçonné d'avoir eu un enfant d'une liaison extra-conjugale et d'en avoir fait porter le chapeau par un de ses amis. Rien que de très privé, pourrait-on se dire.Une affaire d'adultère d'un démocrate qui n'est plus ni sénateur ni candidat peut-elle vraiment avoir un impact électoral après un mensonge d'Etat pour justifier une guerre ? Rien n'est exclu. Après tout, Monica Lewisnky a probablement plus contribué à la victoire de George W. Bush que Karl Rove. Le scandale Mark Foley (un député de Floride accusé de relations avec ses stagiaires mineurs) n'est pas étranger à la défaite des Républicains au Congrès en 2006. Et, comme souvent aux Etats-Unis, émerge l'argument « It's not the crime, it's the cover up » (ce n'est pas le crime qui pose problème mais la façon dont on a essayé de le cacher). L'affaire Monica, ce n'est pas une pipe, mais un mensonge. Barack Obama pourrait avoir à naviguer en évitant les éclaboussures d'un scandale sexuel.


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