Suite aux différents dépassements des détournements de deniers publics et autres transactions frauduleuses et arbitraires des attributions des bons de commandes qui se chiffrent à des centaines de milliards en ce qui concerne les deux importantes riches communes du pays à savoir les municipalités d'Arzew et Bethioua. En effet, ces dernières sont entachées de plusieurs infractions de détournements de deniers publics et aussi de mauvaise gestion qui secouent ces deux communes qui ne respectent aucune réglementation en vigueur du fait que le P/APC d'Arzew en l'occurrence M. Ayach Mokhtar qui n' a pas trouvé mieux pour dilapider les deniers publics par des transactions illégales a confectionné une décision bidon à la mesure de sa dimension sous le numéro 382 portant désignation des commissions de contrôle interne des marchés publics afin de se couvrir pour les multiples passations de marchés de gré à gré qu'il a effectué à travers cette fameuse décision, ainsi que les attributions arbitraires des bons de commandes des fournitures estimés à plus de 200 milliards de centimes depuis la création de cette décision de la commission des marchés publics dûment signée par ses soins et dont il est nommé président de ladite commission « Errachem Hmida Ou Laab Hmida » puisqu'il a profité de la conjoncture et de l'absence de contrôle de la part de la tutelle pour attribuer des conventions d'entretien des espaces verts et jardins publics à ses proches et amis moyennant bien sûre une chipa puisque les durées de ces conventions sont de l'ordre de neuf ans renouvelable et qui dit mieux et il a fallu que l'actuel wali dévoile les pots-aux-roses pour arrêter ce massacre de ces détournements de deniers publics estimés à plus de 585 milliards pour les deux communes et qui ont été consommés pour des fournitures de pneumatiques, peintures et autres articles qui n'ont jamais vu le jour. En ce qui concerne la commune de Bethioua, l'ex maire qui a été suspendu justement pour ces transactions scrabbleuses des attributions arbitraires des différents bons de commandes qu'ils auraient attribués à ses proches collaborateurs moyennant un pourcentage de 40 à 50 % et dont bon nombre de ces fournisseurs indélicats n'ont pas encore perçu à ce jour leur paiement estimé à plus de 85 milliards de centimes pour les motifs bien connus notamment les fausses réceptions ainsi que les commandes verbales sans aucune consultation restreinte ni encore moins l'avis des membres ou des délibérations qui n'ont jamais eu lieu parce que l'ex P/APC avait un bureau secondaire dans son domicile où il procédait aux différentes transactions des achats avec des prises de décisions unilatérales et parfois lorsqu'il s'agit d'une signature d'un BF, il use de ses prérogatives pour les corrompre par des enveloppes financières allant de 100 millions jusqu'à 300 millions de centimes pour un émargement et ils sont connus pour ne pas les citer encore une fois, pire encore selon les informations de quelques membres influents qui nous ont informé d'une transaction des achats de postes armoires électriques qui ont été achetés auprès d'un fournisseur de l'Est avec la complicité de 03 membres qui ont signés les documents moyennant 60 millions pour une paraphe de signature. Ainsi pour mettre un terme à ces détournements de deniers publics, l'actuel wali d'Oran en l'occurrence M. Abdelmalek Boudiaf a pris la sage décision de dissoudre ces commissions bidons à travers une ordonnance en date du 15/09/2011 les sommant de l'annulation pure et simple de tous les arrêtés établis par les présidents des assemblées populaires communales des APC d'ARZEW et de Bethioua qui enregistrent des carences et des violations en matière de réglementation du code des marchés publics. Ceci dit, le chef de l'exécutif a été ferme dans son instruction, faisant allusion à ces communes qui usaient de cette manière pour gérer les affaires d'intérêt public sans soumettre les marchés, financés par le trésor public (communal) à la procédure des avis des appels d'offre comme le stipule la loi 236/10 ayant trait à la réglementation des marchés publics; et ce, pour l'habilitation des différents soumissionnaires. Le wali dans son ordonnance a sommé les chefs de daïras pour que des copies conformes des décisions prises, pour l'abrogation des arrêtés communaux portant dissolution des commissions d'évaluation des offres lui soit transmises aussitôt, et ce conformément au code des marchés publics.