La suspension de l'adhésion de la Syrie à la Ligue arabe était l'une des revendications principales de l'opposition syrienne, manipulée par les occidentaux et surtout les Etats-Unis et la France, dont les différents courants se sont succédés au Caire ces derniers jours pour rencontrer Nabil Al Arabi, le secrétaire général de la Ligue arabe. Par ailleurs, Youssef Al-Ahmad, représentant de la Syrie auprès de la Ligue arabe, a qualifié la décision d'illégale et estime qu'elle met fin à l'action arabe commune et prouve que l'administration (de la Ligue) suit un programme édicté par les Américains et les Occidentaux. Tout en assurant que le régime syrien mettait en œuvre tous les points du plan arabe de sortie de crise, le diplomate a accusé la Ligue arabe de tenter de provoquer une intervention étrangère en Syrie, comme ce fut le cas en Libye. La position de l'Algérie est ferme, pas d'intervention étrangère en Syrie L'Algérie ne rappellera pas son ambassadeur en Syrie, a affirmé ce dimanche à Alger le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci. "L'ambassadeur d'Algérie en Syrie et l'ambassadeur de Syrie en Algérie sont tous les deux les bienvenus et ils vont continuer à travailler dans un esprit le plus fraternel et le plus positif qui soit", a déclaré M. Medelci lors d'un point de presse animé conjointement avec son homologue égyptien Mohamed Kamel Amr à l'issue de leurs entretiens. "Il n'est pas question pour l'Algérie de mettre en œuvre la disposition de la Ligue arabe (rappel des ambassadeurs arabes accrédités en Syrie) qui permet d'ailleurs à chaque pays de prendre sa décision de manière souveraine", a-t-il ajouté. A cet égard, le chef de la diplomatie algérienne a indiqué que l'Algérie avait déjà pris sa décision et qu'elle ne rappellerait pas son ambassadeur à Damas. "Bien au contraire, plus que jamais le moment est aujourd'hui au renforcement de la relation avec le gouvernement syrien pour mettre en œuvre plus concrètement encore le plan que nous avons adopté le 2 novembre dernier au niveau de la Ligue arabe ", a-t-il souligné. Ce qui n'a pas plu à Al Jazeera, Al Arabia et France 24 les chaines télévision des comploteurs. Le Qatar serait impliqué dans un programme sioniste !? A signaler par ailleurs, que la Ligue arabe n'exclut pas des " sanctions politiques et économiques " contre le pouvoir syrien s'il continue à ignorer le plan de règlement arabe. " Si Damas persiste à faire fi des avertissements arabes, la Ligue pourrait en outre faire appel aux Nations unies, a indiqué le ministre des Affaires étrangères et Premier ministre du Qatar, Hamad ben Jassem al-Thani à l'issue d'un conseil extraordinaire des ministres arabes au Caire, consacré à la crise qui secoue la Syrie depuis la mi-mars. Voila comment le plan sioniste pour disloquer les pays de l'axe « Iran », qui pouvaient présenter un danger pour l'Etat sioniste d'Israël, d'abord la Libye où Kadhafi a menacé de mettre son armement au service de la libération de la Palestine, ensuite la Syrie qui a une frontière avec les Juifs et le Soudan qui devrait chasser son régime pour permettre à Israël d'investir dans le Sud Soudanais. Le peuple Egyptien, bien sûr réveillé par les nationalistes qui étaient mis au parfum du grand complot a pris de vitesse les comploteurs pour radier Moubarak de la scène politique pro-sioniste. Mais le Qatar demeure le vaguemestre des américano-sioniste, a manipulé la Ligue Arabe comme il lui a été dicté par ses maître à la Maison Blanche. Donc, la Ligue Arabe s'est dévoilée après l'assassinat de Kadhafi et la validité d'un pré-pouvoir fantoche, appelé le CNT. L'Iran fait preuve depuis 1980 d'un anti-sionisme déchainé. Le Président Ahmedinajad déclare de manière répétée vouloir mettre un terme à l'obstination du nouveau nazi qui est ‘'Israël''.L'Iran s'attaque aux sionistes parce que c'est un moyen qui a fait ses preuves et qui a l'avantage de rallier les masses avant d'entreprendre quoi que ce soit. L'Inquisition, le nazisme, qui anime ‘'Israël'' ne doit pas rester impuni dira Ahmedinajad. De nombreuses sources dignes de foi affirment qu'Israël dispose d'un arsenal nucléaire très important. Les véritables cibles sont les champs pétrolifères du Moyen-Orient, dont les détenteurs seraient eux, les incapables de riposter, n'ayant pas de force de dissuasion nucléaire. L'Arabie Saoudite est la première visée, et l'Amérique l'est indirectement aussi, puisque cela la priverait de son approvisionnement en pétrole. La diplomatie Arabe doit se déployer en ce moment non seulement pour soi-même, mais aussi pour faire prendre conscience au monde qu'Israël'' se sert de sa frayeur de l'Iran comme une manœuvre de diversion. L'Etat d'Israël doit disparaitre, parce que c'est une source de malheur sur la terre depuis sa création arbitrairement au moment où les musulmans se trouvaient en état de faiblesse.