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Vieux bâti Tobana - Mostaganem : 7 familles en danger
Publié dans Réflexion le 15 - 11 - 2011

Le vieux bâti à Mostaganem une vraie tare qui ne cesse au fil des ans de tourmenter le citoyen et malheureusement il offre toujours ce constat amer à l'exemple de ce vieil immeuble situé au 25 rue Abdelaoui Abed dans le quartier Tobana juste à côté de la mosquée Sidi Yahia et qui est parmi les premières construction dans la wilaya.
Il ne faut pas être trop attentionné pour s'en apercevoir que juste à la rentrée du haouch, des images choquantes défilent et heurtent la sensibilité des citoyens présents. Les conditions de vie sont impitoyables vu la vétusté de l'immeuble. La vue de prime abord qu'offre la rentrée du bâtiment est totalement hideuse voire fantomatique. Dans ce taudis, vivotent sept familles toutes se sont des familles nombreuses avec beaucoup d'enfants à charge. Les conditions de vie déplorables n'offrent aucune vie décente car la peur et l'angoisse au quotidien demeurent inséparables du fait que cette bâtisse menace à tout moment de s'effondrer. Une fois à l'intérieur on peut se rendre compte que ces pauvres familles, Aoued composée de trois frères et deux sœurs et deux autres familles voisines tous locataires et occupent une minuscule pièce de 2 mètre sur 1,50 m, ces derniers n'ont pas tout à fait tort de se plaindre des conditions de vie alarmantes qu'ils endurent depuis des années faute d'avoir trouvé de plus mieux. Une attente qui a que trop durée et tous espoir commence à s'amenuiser avec les années qui se succèdent et se faufilent. Notre premier interlocuteur Mme Aoued Fariha, est une fonctionnaire qui partage une étroite pièce avec ses trois enfants qui dorment sous un toit de madrier et un mur totalement fissuré. Cette dernière raconte qu'elle passe avec ses petits-enfants des nuits cauchemardesques, la peur au ventre du fait que ce bâtiment en ruine est sinistré depuis 1962, mais comme les citoyens ne trouvent pas mieux, vu la crise en logement engendrée' par le retard en construction de logement cumulé depuis l'indépendance et vu le taux de natalité des algériens qui depuis si peu de temps état l'un des plus intéressant , ils sont obligés de mettre leurs vies en danger en acceptant toutes formes d'habitation. Aussi ces malheureuses familles ont indiqué que beaucoup de demandes ont été faites depuis 1979, sans qu'aucune réaction de la part des pouvoirs publics n'ait venue les leur faire la surprise et les débarrasser de ce gouffre afflictif. Alors en hiver, quand il pleut, racontent ces locataires, c'est le calvaire. Passer des nuits interminables et stressantes, le frottoir et la serpillère à la main pour essorer les eaux pluviales infiltrées des plafonds éventrés et des mures fissurés. Selon eux, un effondrement partiel d'un toit est survenu la semaine passée mais heureusement que cet incident n'a fait aucune victime grâce à Dieu. Aujourd'hui, ces sept pauvres familles racontent avec désolation leurs déboires depuis plus de 70 ans, une attente qui a duré éternellement soit plus d'un demi-siècle, mais l'espoir demeure toujours aussi grand en attendant un relogement décent afin d'oublier les frustrations et les échecs tant ressentis pour une existence aussi éphémère avec des dangers réels venant parfois d'une habitation qui menace ruine, et c'est vraiment désolant !

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