Laissons-les aboyer comme les chiens de village dont on sait qu'ils « aboient, mais ne mordent pas ». Personne ne prend au sérieux leurs diarrhées verbales. Qu'ils aboient encore et toujours pendant que l'Algérie avance. Ils reprochent aux algériens de ne pas être gouverné par ceux qu'ils auraient voulu afin de préserver ou reconquérir leurs privilèges mal acquis - c'est-à-dire par ceux qui ont soit gouverné puis contraint de dégager pour leurs échecs et incompétence soit par ces ignares, débiles et obscurantistes incapables de réflexion que celle pour le ventre pour mieux les manipuler – et ils admettent pour cela le « chaos » en se faisant aider et diriger par des diables ! Ils reprennent tels des perroquets leurs thèses funestes et moribondes contre leur propre pays tout en s'affublant du qualificatif de ‘patriote', qu'ils ne connaissent pas, alors qu'ils se savent n'être que de vulgaires félons, des ratés sans vertus et sans gloire. Tout le monde sait, même les moins avertis, qu'il n'y a rien de cohérent dans leur bave de crapaud qui leur sert d'argument. Les commères des quartiers populaires ont plus de logique et d'honneur. Ils déblatèrent à longueur d'année sur du faux et du mensonge alors que la plupart d'entre-eux, qui étaient aux commandes, n'avaient jamais fait le minimum d'effort au service de ce qu'ils disent maintenant être leur pays et leur peuple que pour « leurs affaires » douteuses. Ce n'est qu'une fois éjectés du pouvoir pour gabegie et incompétence, après avoir baigné dans la luxure, la corruption et l'escroquerie qu'ils se découvrent des vertus patriotiques et surtout des aptitudes à la dévotion dont-ils se servent comme piédestal pour mieux divertir et tromper. Leur aliénation va jusqu'à imputer tout oui tout - du « déficit en pluie » ou la « canicule d'été » au « manque de production d'huile d'olive de Beni Mohli » ou le paysan distrait qui a oublié « le bourricot qu'il a acheté ». Ils font appel à la « communauté internationale » (c'est-à-dire les EU, la GB et la France; maîtres dans l'ingérence) pour nous faire comme la Libye et la Syrie pour nous débarrasser de notre « système » et de notre armée avec sa DRS qui défend le pays en mettant en échec les complots qui se trament depuis 1962. C'est bien de cela qu'il s'agit afin de prendre leur place, comme les renégats du CNT libyens, avec plus de dépendance et moins de dignité. En réalité, on ne vit pas du tout, ici, ce que les opportunismes d'ici ou d'ailleurs veulent nous faire croire malgré une crise dite « mondiale » due à la rapine et à la spéculation. Ils mentent sur tout même sur le mensonge. Disons leur que l'on est beaucoup mieux que nous l'avions été durant la période dite « décennie noire » voire avant. Les projets de développement battent leur plein et se comptent par milliers ; de grands projets structurants. Nous connaissons bien nos insuffisances et nos tares ; les solutions exigent du temps, des tactiques et de la patience. Quant à s'employer, comme ils le font, à longueur d'année à vouloir manipuler nos enfants à se révolter pour réaliser leurs ambitions par le « chaos » pendant que les leurs font des affaires, ils ont essayé mais échoué. Ils peuvent toujours attendre ! Ils ont même appelé, sans succès, les algériens à rester chez soi à l'occasion de la fête de l'indépendance (5 juillet). Parions que si demain ces néocolonialistes agressent l'Algérie, nos ‘thouars' en herbe sont capables de faire les entremetteurs pour enrôler des mercenaires pour venir soi-disant « libérer le pays ! » pendant qu'eux se contenteront - par leur nature de pleutre ayant plus de muscles dans la langue que dans les bras comme les ‘rats' de Libye et de Syrie qu'ils soutiennent - d'applaudir en comptant les morts confortablement installés devant leurs écrans de télé en attendant leur ‘intronisation' ; bref que des futurs renégats néo harkis. Les algériens connaissent leur opportunisme, leur voracité, leur infernale avidité et leur cupidité. Le genre aussi qui « bouffe à leur table tout en insultant leur race » comme disent les algériens (yakoul ghelethoum wa ysseb melethoum). Ce sont des canailles, des dégénérées, sans morale que le pouvoir et l'argent ont perverti et que le temps a avachi jusqu'au ridicule. Nos enfants savent bien, mieux que quiconque, ce qui est dans leurs intérêts et celui de leur pays sans se voir guider ou manipuler par ceux dont le « patriotisme » se mesure à l'aune de la richesse qu'ils peuvent accumuler uniquement pour soi et sans effort. Laissons-les donc dans leur marécage à aboyer comme des chiens nomades jusqu'à leur extinction.