Personne n'échappe à la règle des escrocs et à leur plan machiavélique déhonté qui sert à déplumer les plus nantis et même ceux qui détiennent une place à la haute sphère de l'Etat. A cet effet et selon de source concordantes, le ministre des affaires religieuses aurait été escroqué de la bagatelle de 3 milliards de centimes. Selon de sources concordantes ont rapporté que le représentant du parquet général prés le tribunal d'Alger a demandé la confirmation de la peine prononcée à l'encontre du mis en cause pour le délit d'escroquerie. Ce dernier avait fabriqué de toute pièces une opération d'escroquerie à l'encontre du ministre des affaires religieuses Abou Abdellah Ghoullamallah pour lui extirper une coquette somme de trois milliards de centimes. L'escroc a amadoué le ministre pour lui acheter une belle villa pour l'une de ses filles, qui s'est avéré ensuite qu'une bourde. Une fois le butin dans ses poches, le mis en cause disparait dans la nature et ne donna plus signe de vie au ministre. La victime étant très inquiète de la perte de son argent, se précipita sans attendre pour déposer une plainte auprès des services de sécurité qui lancèrent une enquête. Les investigations entreprises ne laissèrent aucune chance à l'escroc de cavaler longtemps les poches pleines de frics. Selon la source, l'escroc n'est autre qu'un proche ami de la famille du ministre qui en avait besoin d'acheter une grande villa, alors le mis en cause proposa ses services dans l'intention de commettre son grief à l'encontre de la famille du ministre. L'escroc est allé au fond de son maléfique jeu lequel a proposé à la fille du ministre de vendre son appartement qu'elle en bénéficié à Alger et d'acheter une grande villa qui permet d'abriter toute sa famille. La fille du ministre trouvant la proposition du faux ami alléchante, notamment qu'elle voulait se débarrasser de l'appartement ne pouvant y vivre toute seule vu son état maladif, elle demanda à son père de s'engager. Saisissant cette occasion propice qu'il fallait pour tout l'or du monde ne pas rater, l'escroc demanda au ministre de lui avancer l'argent pour s'engager à lui procurer la villa. En effet, l'escroc les poches bien remplies d'argent qui ne lui appartient pas, il contacte un propriétaire d'une villa qui allait la vendre, alors il se propose de l'acheter pour son fils et lui avance même une avance de 570 milles dinars, oubliant en conséquence l'engagement qu'il avait pris avec le ministre. A la barre devant le tribunal avant-hier, le mis en cause a rejeté les accusations en avouant avoir remboursé la moitié de l'argent au ministre et le reste suivant d'autres échéances comme déjà convenu. Le verdict sera rendu dans les prochains jours.