Shiv Chopra est un microbiologiste canadien connu pour avoir fait arrêter l'utilisation de l'hormone rBGH destinée aux vaches et qui provoquait des mammites avec du pus dans le lait. Il dit qu'« Un vaccin est une préparation biologique qui améliore l'immunité par rapport à une maladie déterminée » - Le Dr Chopra affirme qu'il n'en est rien et qu'en fait les vaccins violent les lois les plus élémentaires de la biologie. Comme ce fut le cas avec l'hormone rBGH, le Dr Chopra possède l'art de rendre les choses très compréhensibles au moyen de faits indéniables et accessibles à tout le monde. Pour les vaccins il commence par le début et explique la manière dont fonctionne le système immunitaire pour protéger le corps des maladies. Il explique qu'il y a une guerre perpétuelle entre l'intégrité physique de la personne et les organismes envahisseurs. La plupart des gens comprendront plus facilement cette guerre en pensant au rejet d'organes (greffés) provenant d'une autre personne ou d'un animal. Le même rejet se passe à un niveau microscopique contre les virus et les bactéries étrangères. Mais, le fait que le corps rejette tout ce qui est étranger, peu importe la taille, n'est pas simplement une bonne chose ou la manière dont le système immunitaire protège le corps, mais celui-ci le fait dans le but suprême de maintenir l'intégrité corporelle. La définition de « l'intégrité » est cruciale pour comprendre la brillante intelligence du système immunitaire. L'intégrité suppose un état d'être complet, intact, un état non altéré, un état de perfection... En termes simples le Dr Chopra explique que le système immunitaire a pour fonction de maintenir son intégrité ou « soi » face au « non soi » des envahisseurs. C'est précisément cette condition parfaite, cette intégrité, que les vaccinations détruisent. La fonction du système immunitaire est de décomposer toute matière étrangère qui pénètre dans le corps- que ce soient des protéines, des graisses ou du sucre en les transformant en molécules simples dans le tube digestif. Les sucres doivent être transformés en glucose, les graisses en acides gras et les protéines en acides aminés. Les deux derniers, le corps les retravaille pour les reconstruire, mais cette fois en formes propres à la personne même. Ce ne sont désormais plus des protéines ou des graisses étrangères. Tout ce qui est étranger doit être rejeté. L'intégrité corporelle doit être maintenue ; c'est ainsi que le système immunitaire rejette tous les « envahisseurs », les réduit en morceaux, les éjecte ou les détruit. C'est dans cette perspective que les éternuements, la toux, la diarrhée et les vomissements jouent leurs rôles en tant que mécanismes protecteurs pour débarrasser le corps des protéines étrangères ou autres matières. Toute matière étrangère qui pénètre dans le corps est déconstruite dans le système digestif. Il arrive aussi que la fièvre soit stimulée pour affaiblir ou détruire les éléments étrangers au corps. Dans ce contexte on peut plus facilement comprendre les quatre étapes au moyen desquelles le Dr Chopra met à nu le caractère fallacieux des bases « scientifiques » des vaccins. Le Dr Chopra explique que toute personne connaissant les rudiments de la biologie devrait savoir : Que tous les vaccins, de par leur nature même, sont des antigènes et que chaque antigène par définition ne peut être qu'une protéine étrangère. Qu'aucune protéine étrangère ne peut être absorbée dans le flux sanguin à moins d'avoir été digérée et transformée dans le système digestif en acides aminés de base ; Que ce sont ces acides aminés qui, après avoir été absorbés dans le sang, sont transformés pour devenir nos propres protéines. Ce sont ces protéines qui permettent de distinguer le soi du non soi. Que toute interférence, modification ou altération de ces lois de la vie sont susceptibles de provoquer des désastres dans l'immunité, comme par exemple l'autisme, etc. Pourquoi des désastres ?
On sait que les vaccins introduisent de force des protéines étrangères dans le corps, en contournant tous les mécanismes utilisés par le système immunitaire pour éviter pareille invasion. (peau, muqueuses digestives, respiratoires, uro-génitales...) Pensez un peu aux transplantations d'organes. Le système immunitaire veut se débarrasser de tout ce qui est étranger. Il n'arrêtera que quand il arrivera à ses fins. Il s'attaquera lui-même si nécessaire – tellement est fondamentale la loi d'intégrité du soi vis-à-vis de l'envahisseur. Essayez d'imaginer que ceci se passe dans votre propre maison. Les maisons ont des portes, des fenêtres, des systèmes d'alarme pour pouvoir précisément arrêter les envahisseurs. En général, on pense que ces envahisseurs viennent pour voler ; mais essayez maintenant d'imaginer qu'ils envahissent votre maison pour s'y établir, l'occuper et s'en emparer. Dans ce cas, ne feriez-vous pas l'impossible pour les éjecter et reprendre votre maison, et ce sans discontinuer. Essayez d'imaginer que ces envahisseurs ne soient pas rentrés par les portes, les fenêtres prévues pour les arrêter, mais qu'ils aient pénétré par la cheminée, le système de ventilation, le système électrique et qu'il soit impossible de les mettre dehors et de s'en débarrasser. Dans ce cas votre maison serait-elle encore vôtre ? Seriez-vous en sécurité ? Contrairement à ce qui a été dit, les vaccins « n'améliorent pas l'immunité ». La plus élémentaire compréhension du fonctionnement du système immunitaire devrait rendre la chose ultra claire. Les vaccins contournent les défenses du système immunitaire pour introduire dans le corps des éléments étrangers qui n'y ont rien à faire et qui n'auraient normalement jamais pu passer directement dans le sang. Ces éléments étrangers, le système immunitaire est incapable de s'en débarrasser. La matière étrangère est logée en permanence dans un corps mal en point, déficient. L'intégrité du corps est littéralement brisée. [...] Ce ne sont pas uniquement les virus ou bactéries étrangères qui provoquent des problèmes. Chopra écrit : « Les protéines étrangères contenues dans les vaccins ne proviennent pas uniquement d'organismes infectés ; infections contre lesquelles on veut créer des anticorps. Ils contiennent aussi des produits étrangers dans lesquels ces organismes sont en culture. Ici on peut évoquer le sérum de veau, le sérum de cheval, les œufs de poule, les reins de singe, des cellules d'insectes et même des cellules de fœtus humains avortés. « Outre les protéines étrangères, les vaccins peuvent aussi contenir d'autres substances dangereuses comme le mercure, l'aluminium, le formaldéhyde, les adjuvants huileux, etc. plus un nombre indéterminé de virus parasites qui pourraient provoquer le cancer, le sida, l'hépatite etc.