Chlef : Direction générale de la protection civile. Bilan saison estivale 51264 interventions et 224 personnes décédées La saison estivale tire à sa fin, le mois sacré de Sidna ramadhan est à nos portes, la flambée des prix a atteint un record par rapport aux saisons précédentes, quelle sera donc la réaction de la direction du commerce et des prix, quel sera le plan d'action des contrôleurs des prix que tout Algérien se pose la question ! la direction générale de la protection civile a déjà dressé le bilan de ses activités durant la période estivale allant du 1er juin au 11 de ce mois d'Aout qui enregistré 51264 interventions et 224 personnes décédées, ce bilan lié au dispositif de surveillance des plages 1083 personnes mortes par noyade et de 26 948 autres ont été sauvés grâce aux interventions rapides des éléments de la même structure, d'autres décès relevant toujours selon le communiqué de la direction générale de la protection civile concernant les noyades dans les réserves d'eau qu'elle a enregistré depuis l'ouverture de la saison estivale, 116 morts dont 34 cas dans les marées d'eau abandonnées et les retenues collinaires, 33 dans les puits, 20 à travers les oueds, 14 dans les barrages et une dizaines dans les lacs. Notre source affirme qui ses personnes noyées dans les retenues collinaires et barrages sont les plus nombreux que ceux noyées dans les eaux des baignades, la plupart d'eux sont des pauvres enfants qui voulaient se rafraichir dans les eaux en raison de l'inexistence des piscine en cette horrible chaleur et canicule, ces même enfants sont même privés de vacances, selon un officier au niveau de la direction générale qui affirme que l'âge de ses jeunes varie entre 6 et 16 ans, la protection civile dans les jours à venir doit déployer un dispositif de surveillance des barrages et autres retenues collinaire et ce au même titre que les plages dans le but d'éviter d'endeuiller les familles qui ne peuvent pas offrir des vacances au bord de la mer à leurs bambins estime un des responsables de la tutelle sous couvert de l'anonymat.