Une nouvelle plainte pour « blanchiment d'argent » a été déposée à Paris, le 15 mai à l'encontre de Chakib Khelil, l'ancien ministre algérien de l'Energie et des Mines. Cette plainte succède à une enquête du parquet de Milan déjà en cours sur une mystérieuse commission de près de 197 millions d'euros dans laquelle Chabik Khelil avait déjà été impliqué rapporte Jeuneafrique. L'ancien ministre algérien de l'Energie et des Mines, Chakib Khelil, fait face à une nouvelle plainte déposée à Paris pour "blanchiment". Et ce n'est sans doute pas la dernière a rapporté le l'agence Reuters, hier. Une plainte pour « blanchiment de capitaux » a été déposée à Paris contre Chakib Khelil, l'ancien ministre algérien de l'Energie et des Mines, le 15 mai, dans le cadre de cette instruction (qui vise d'autres personnalités algériennes soupçonnées d'avoir illégalement acquis des biens en France), les gendarmes de la section financière ont auditionné Omar Aït Mokhtar, président de l'association Mouvement citoyen algérien de France. Laquelle envisage de déposer dans les prochains jours une nouvelle plainte auprès du parquet de Milan, qui enquête déjà sur une affaire de commissions occultes (197 millions d'euros) versées par la firme italienne Saipem à plusieurs intermédiaires algériens, parmi lesquels Chakib Khelil.