Comme chacun peut le constater, il n' y a aucune amélioration en matière de protection de l'environnement . Mostaganem vit au gré des déchets et ordures déposés anarchiquement et comme bon semble à tout un chacun. La logistique communale est une chose que l'on peut critiquer et sévèrement même, mais il serait injuste d'abonder dans le même sens de la critique, car il est de notre devoir à tous de mettre en exergue le comportement tout aussi irresponsable des gens, donc il n' y a pas lieu de nous focaliser sur un seul des aspects. Les particuliers méritent eux aussi d'être remis à l'ordre. En parcourant la ville de Mostaganem, que de spectacles de désolation, la saleté, à proximité des immeubles, des dépôts d'ordures sauvages au devant même des institutions publiques, à l'image de l'agence commerciale de la téléphonie située à proximité des docks silos de l'Ex.Sempac. Une image inacceptable, en dehors des ces revendeurs informels qui proposent leurs fruits de saison, toute la journée en quête d'arrondir leur fin de mois, il existe juste en face un magasin, où tout se vend si l'on en croit certaines ménagères à bas prix, c'est un magasin qui dit-on se présente comme une alternative destinée plus particulièrement aux petites et moyennes bourses. Seulement en matière d'environnement, aucun respect, chaque jour que Dieu fait, les commerçant qui y exercent jettent leurs ordures juste à proximité d'Actel et les abandonnent en plein air, portant ainsi atteinte à l'image de marque d'Algérie-Com et créant des difficultés aux piétons et autres usagers de la route. Ces derniers déposés par les taxis en provenance de la gare sont obligés de faire tout un détour pour éviter le dépôt d'ordures. Devenu un des principaux fléaux qui rongent la ville de Mostaganem, le problème des ordures qui s'accumulent anarchiquement ici et là, faute d'un civisme citoyen, se pose encore tel un véritable casse-tête pour les responsables et les habitants de la ville. Cette tare, une de plus, a d'ailleurs déjà fait réagir les responsables de la commune en menant des opérations de collectes d'ordures et de nettoiement à travers les quartiers urbains, mais le manque de civisme des uns et des autres n'avancent guère les choses. Cet état des lieux conduira sans nul doute à une situation désastreuse en matière d'hygiène et de salubrité publique. Le civisme et la conscience ne sont devenus que de vains mots. Les élus et les responsables qui sont en charge de la gestion des affaires publiques sont interpellés plus que jamais non seulement à sensibiliser tous les acteurs de la vie quotidienne, mais sévir à tout moment. Les campagnes de sensibilisation ne suffisent plus à elles seules, il y a lieu de mettre en place des mesures répressives susceptibles d'atténuer de l'ampleur du problème