Un parfum de scandale dans la gestion de certains projets luxueux estimés à des sommes faramineuses, commence à se sentir dans les couloirs de l'hôtel de ville de Mostaganem et qui ne tardera pas à jaillir du plafond de ce dernier pour se faire flairer par les enquêteurs de la brigade économique. Ces projets d'aménagement de carrefours avec des jets d'eau pour une somme de plus de 2,5 milliards chacun, et un petit aménagement d'un square à plus de 900 millions de cts et l'inscription de l'achat de deux luxueuses horloges pour la somme de plus de 500 millions de cts et l'autre projet d'aménagement du jardin l'Emir Abdelkader pour la somme de plus de 3 milliards et qui se trouve à l'arrêt parce que l'entreprise réclame encore plus d'argent . Et ces rideaux qui ont couté à la mairie plus de 130 millions de cts et cette salle de mariages transformée en salle de délibérations pour plusieurs centaines de millions. Alors qui doit payer aujourd'hui la note de ce luxe, si ce n'est le pauvre contribuable mostaganémois..!? Démocratie participative des autorités compétentes et de la société civile jalouse pour la gestion de sa commune, auraient pu se mettre en place pour dire non au gaspillage et encore non pour ces projets de luxe qui ne rapportent rien et qui se font au détriment des quartiers défavorisés qui rêvent d'une route praticable, d'un espace vert et d'une école, où les élèves sont bien chauffés et bien nourris dans les cantines ! Qui a peur de l'ouverture d'une enquête ? Depuis plus de 6 mois , beaucoup d'encre a coulé pour dénoncer sans cesse le projet de l'aménagement de la salle de délibérations de l'APC de Mostaganem, des dépassements qui bafouent la réglementation en vigueur et perturbent la quiétude des élus qui n'arrivent plus à comprendre, pourquoi le maire insiste et fait des pieds et des mains pour convaincre les responsables concernés de valider les travaux pour payer l'entrepreneur de Djelfa , alors que tout le monde sait que la salle a été achevée avant même le lancement de l'avis d'appel d'offres dans les journaux . Le wali de Mostaganem est-il au courant qu'il existe trois entrepreneurs qui font main basse sur les projets de ladite commune , et que l'un de ces trois entrepreneurs le dénommé « G.A » a eu l'honneur de réaliser la première tranche des travaux de la salle, pour ensuite laisser la place à son ami le second entrepreneur « K.A » pour se faire payer les frais de la finition de la salle .. !? Le projet de la salle n'est que l'arbre qui cache la forêt ! Car, il existe d'autres projets estimés à des milliards et qui nécessitent, l'attention des enquêteurs ! Les lecteurs de ‘‘Réflexion'' vont prochainement suivre de près les scandales de l'APC en détails, du moment où les autorités compétentes ne veulent rien entendre ..!