Selon un médecin militaire Gilbert Raffier, qui se trouvait au Zaïre (République Démocratique du Congo actuellement, Ndlr) en 1976, la maladie dénommée ‘'Ebola'', s'est étendue à ce même pays, tuant environ 300 personnes, avant de disparaître d'elle-même. Un sérum avait pourtant été trouvé par des médecins et il pourrait être utilisé actuellement. Les USA avaient un traitement secret dans leur tiroir depuis 2 ans Une autre source révèle que les Etats-Unis avaient donc un traitement secret contre le virus Ebola dans leur tiroir. Ce traitement a été expérimenté et testé en 2012 sur des singes. Il s'agit d'un produit né d'un programme financé par le Gouvernement et l'armée états-unienne, en collaboration avec les autorités sanitaires canadiennes. Il se nomme « ZMapp », il est constitué d'anticorps monoclonaux dirigés spécifiquement contre une molécule à la surface du virus qui pourra ainsi être détruit par le système immunitaire du patient. Ce traitement est la propriété du laboratoire ‘'Mapp Biopharmaceutical''. Ces recherches ont été menées depuis une décennie par l'United States Army Medical Research Institute of Infectious Diseases (Institut de Recherche sur les Maladies infectieuses de l'armée des Etats-Unis) et avaient abouti en 2012 à la publication sur le site de la Proceedings National Academy of Science (PNAS) à des résultats probants montrant son effet protecteur vis-à-vis du virus Ebola chez les singes macaques rhésus. Dans toutes les expériences menées en 2012, les animaux qui ont reçu les cocktails d'anticorps monoclonaux (MB-003) ont montré une diminution significative de la virémie et affirment que ce traitement a eu un effet d'immuno-protection. Des études ultérieures publiées en 2012 et 2013, dans la revue scientifique Science Translational Medicine ont révélé des résultats similaires. De plus, il a été constaté que près de la moitié des primates étaient encore protégés plusieurs jours après avoir reçu une injection avec le même traitement (MB-003). En effet il a apparemment toujours existé un sérum contre l ́Ebola depuis au moins 1976, on a laissé mourir des africains de manière délibérée. Les "occidentaux" était au Congo et observaient l ́éclosion et les ravages de la maladie, tout en faisant semblant d ́aider. Il a fallu qu ́un blanc attrape par inadvertance le virus pour que le sérum fasse son apparition et qu ́on le soigne. Mais les pauvres Nègres n ́ont pas eu droit à la même faveur et on a toujours laissé courir le bruit qu ́il n ́existe aucun traitement. Le même scénario se répète en 2014. Le sérum est là et la maladie est entrain de décimer des populations entières. Comment les deux blancs américains ont été guéris ?
Il aurait fallu attendre que deux blancs américains, venus soi-disant pour aider attrapent le virus et ‘'hop comme par magie'' un traitement "expérimental" apparaisse. Ce serait donc la première fois que deux êtres humains, Kent Brantly et Nancy Writebol, auraient reçu ce sérum d'anticorps monoclonaux et les premiers résultats selon CNN seraient très probant .Le premier aurait vu sa condition physique s'améliorer de manière significative, il aurait été capable de prendre une douche le lendemain matin, puis de s'envoler vers les Etats-Unis. L'aide-soignante, Nancy Wribebol, aurait vu une amélioration de son état de santé (même si celui-ci reste précaire) après la deuxième injection et a pu ainsi être évacuée également vers les Etats-Unis. Ainsi, l'on attendait l'infection des deux citoyens par le virus Ebola pour que les USA sortent leur "antidote" expérimental ‘'miracle'' de leur arsenal militaire et scientifique. Jusqu'à présent, malgré les centaines de morts africains (près de 900), les Etats-Unis n'avaient pas encore daigné bouger le petit doigt. Ebola a fait plus de 3000 morts
Un seuil dramatique vient d'être passé. L'épidémie de fièvre hémorragique Ebola a fait 3000 morts. Plus inquiétant, le virus a tué près de la moitié des personnes infectées, selon le dernier bilan de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) publié hier dimanche. Le virus a emporté près de la moitié des quelque 6574 personnes infectées dans les cinq pays d'Afrique de l'Ouest. En Guinée, d'où l'épidémie est partie en fin d'année dernière, il y a eu 648 morts sur 1074 cas. Au Liberia, le pays le plus touché, 3458 personnes ont été infectées, dont 1830 sont décédées. Du côté de la Sierra Leone, le virus a infecté 2021 personnes dont 605 sont mortes. Et au Nigéria, huit morts, sur 20 cas, ont été recensés. Statistiquement, les chiffres ne sont pas rassurants. La maladie atteint un taux de létalité d'environ 70%.