T. 20 ans, lycéenne a été surprise de la présence d'une voiture grise dont elle ignore la marque et à son bord 3 jeunes personnes, cependant l'existence d'un seul indice peut mener à la vraie piste d'investigation. Il s'agirait d'une fille aux initiales A.S âgée de 18 ans et qui paraissait enceinte et selon la victime T, cette fille aurait des antécédents et est très connue auprès des services de sécurité d'Ain Kermés, qui selon une source très proche de la famille de la victime sont à pied d'œuvre sur cette affaire très discrète pour l'heure. En effet, les 3 jeunes personnes en compagnie de la file A.S étaient devant le lycée et ont sollicité la victime T à monter en voiture, cette dernière a obéi puisqu'elle connaissait A.S et en cours de route ce jeudi a été accostée au environ de 16 heures. L'un parmis les trois agresseurs a pris une blanche dans la pomme de sa main et la met sur le nez de la victime T qui s'est évanouie et a perdu connaissance et c'est au tour des 3 jeunes personnes de commettre leur besogne. La fille a été violée et ce n'est que vers 3 heures du matin qu'elle s'est réveillée, les vêtements tachées de sang, elle a vite appris qu'elle a été violée et que les désirs sexuels des 3 personnes ont été pleinement satisfaits. Cependant aucune trace de violence sur le corps on autre agression. Elle s'est retrouvée devant la porte du lycée, du même lieu où elle a été kidnappée, dira sa mère que nous avons rencontré à bord d'un taxi et qui était en compagnie de sa fille pour une visite auprès du médecin légiste de l'hôpital « Youssef Damerdji » qui leur aurait délivré un certificat médical ce dimanche 06.12.2009 aux environs de 10h30, par ailleurs, la mère nous dira que par peur de grossesse, j'ai administré un comprimé de contraceptifs puisque ma fille était fiancée, son père est handicapé, il ne perçoit que 4 milles Da, et moi j'exerce comme femme de ménage dans une école dans le cadre du filet social. Ma fille a du interrompre ses études faute de moyen matériels et les vêtements qui témoignent (pièces à conviction) sont chez moi dans notre domicile dans la localité de Meziriaâ à quelques 7 kms de la commune de Madna relevant de la daïra d'Ain Kermés, l'effet de la poudre blanche a été derrière le problème de ma fille ajoute la mère qui dira que l'on parle d'héroïne dans ces milieux connaisseurs. S'agirait-il d'un simple scénario ?! D'un règlement de compte ?! L'héroïne se vend-elle dans cette région très conservatrice ?! Y'a-t-il une bande spécialisée dans le kidnapping des jeunes filles et leur viol ?! La région du sud a-t-elle été frappée par le mauvais sort ?! à toutes ces questions on veut des réponses ?! vérité…quand tu nous tiens.