Une institution culturelle revendicatrice d'un langage artistique où l'intensité du sentiment stimule l'acuité de la perception au-delà des valeurs artistiques dérées. Lors d'un point de presse animé par Messieurs du centre culture français et de l'institut Cervantès d'Oran dans le cadre de la préparation des concerts du chanteur de renom Titi Robin pour la première fois en Algérie où il donnera trois spectacles de musique Tzigan et flamenco, intitulés « Alezan » dont le premier concert a été donné mercredi 10 du mois courant à Alger, le second a eu lieu pour cadre, la ville de Tlemcen, avant-hier, quant au troisième sera donné aujourd'hui à Oran 18h à l'Audorium de l'université des sciences et de technologie (USTO) Oran. La région ouest de France, anime d'une manière discontinue les fêtes communautaires et gitanes donnent l'aubaine à Titi Robin de tester la couleur originale de son approche musicale face à ces traditions riches dont il s'inspire. Accompagné de Pepito Monte allègre au chant flamenco « Alezane » ne manquera de vous faire lever pour danser, Francis varis, illustre accordéoniste et Alex Tran vertueux percussionniste, conjointement avec le traiteur « F les falaises traiteur ». Selon le directeur du centre culturel français d'Oran. M. Gaëtan Pellan, il est vrai que la volonté indéniable de l'institut Cervantès d'Oran est beaucoup plus dynamique qu'activé et qu'il est très intéressant de refléter l'image culturelle de la grande ville millénaire Oran aux mille charmes accueillants qui vont en ligne droite avec ses fascinants et prestigieux sites pittorestes et touristique sincèrement à vous donner le vertige, par ailleurs il estime que la proposition d'un artiste français qui s'est reproduit dernièrement en Palestine à Ghaza a fait de lui, une icône médiatique qui a fait la une de la presse internationale. Il y a lieu de rappeler que l'Algérie organisera prochainement à Alger le festival du cinéma européen, une grande manifestation de renommée européenne. Titi Robin qui joue le luth avec ses différentes formes de chants notamment flamenco et Tzigane pour partager pour la première fois en Algérie des moments de réflexion sur la chant flamenco avec le public Oranais, Algérien notamment. Dans un autre sillage, il convient de noter que l'institut Cervantès conjointement avec le CCF préparent déjà le mois du patrimoine qui sera célébré le début du mois de mai prochain. C'est d'ailleurs l'une de leurs spécificités. Concernant les activités liées en ce sens, le programme propose le 6 mars prochain, le théâtre régional « AEK Alloula » abritera à 18h, un concert intitulé « Euarteto de Camara de l'Ampurdan ». En effet, c'est un ensemble appartenant à l'orchestre de même nom, l'une des formations musicales espagnoles avec un grand nom international. Ils interprèteront également des pièces espagnoles du répertoire ibérique, comme hommage aux femmes algériennes et Espagne à l'occasion de la journée mondiale de la femme le 8 mars 2010, tandis que le 4 du même mois, une exposition s'articula autour de l'architecture, 100% concernant une sélection d'œuvres réalisées par des architectes madrilène dans toute la planète durant cette dernière décennie. Cette exposition aura lieu à 15h à l'Auditorium de l'université des sciences et la technologie d'Oran, le 6 mars prochain on aura au menu, un récital de poésie féminine à la « promenade de l'Etang » à 11h, une lecture de poèmes en espagnole composés par des femmes poètes de l'envergure de Gabriela Mistral, Rosalia de Castro et Sor Juana. Durant la même date l'affiche sera retenue par la projection du film « lettre de ma sœur à 15 h à la cinémathèque d'Oran. Selon nos informations une activité organisée par « l'AFEPEC » (association féminine pour l'épanouissement de la personne et l'exercice de la citoyenneté. Un documentaire réalisé en 2006 par la réalisatrice Habiba Djehnine présenté au premier cycle hispano-arabe de femmes cinéastes, célébré à Grenade via malaga en avril 2009 dont le synopsis met en relief le trajet effectué en compagnie de la dépouille de sa sœur Nabila de la ville de Tizi Ouzou où celle-ci a été assassinée en 1995, vers Béjaia, où se trouve la maison familiale, structure ce film d'une durée de 68 minutes et tourné dix ans après sur les lieux du drame. Dans le même contexte la cinémathèque d'Oran projettera le 13 mars prochain à 15h le film « Te doy mis ojos » (ne dis rien) en collaboration de la direction de la cinématographie (ministère de la culture). Film de la réalisatrice Iciar Bollain intercepté par Laia Maru ainsi que Candela Pena entre autres. Un film dont le synopsis a pour cadre l'histoire d'une jeune femme. Pilar (Lai Marull) par une nuit d'hiver, s'enfuit de chez elle en emmenant son fils Antonio, son mari la poursuit, veut la ramener à la maison, lui promet de changer. Rien n'y fait, Pilar a pris sa décision un film qui a fait l'objet de la critique houleuse « Si nécessaire comme bon si triste comme réel, si terrible comme la vie de quelques femmes » d'une durée de 106 minutes sous titré en français. Le même jour conférence « contre la violence de genre en Espagne. Défis et résultat sera donnée à l'institut Cervantès par M. Santiago Moran à 15 h. La description d'un pays précurseur dans la lutte contre la violence de genre, l'Espagne a converti la lutte contre ce fléau tabou pendant des années en une priorité sociale et politique. Le 3 avril prochain aura lieu à l'institut Cervantès à 15 h la présentation du livre « la Cenicienta que no queria comer perdices » (le cendrillon qui ne voulait pas vivre heureuse et avoir beaucoup d'enfants) dont les auteurs Nun Lopez Salamero et Myriam Cameros Sierra. Au fond c'est un conte qui démonte tous les contes qui nous ont racontés, « et ils ont été heureux et ont manqué des perdrix. C'est la fin conventionnelle qu'on a toujours raconté mais ont-ils été vraiment heureux ? La cendrée qui ne voulait pas manger des perdrix s'est convertie en grand boom éditorial avant d'être publié. Le succès a été tel que le conte s'est en tout un phénomène sur internet. Quant aux ateliers « littérature hypanique et E/LE) elles seront au menu du 6 avril à 10h à l'institut Cervantès avec la collaboration de la section d'Espagnol de l'université de Mostaganem. En somme, la littérature, c'est l'un des véhicules principaux pour s'approfondir dans la connaissance d'une langue étrangère et sa culture. Les communications présentées à l'atelier célébré en mars 2009. Un programme très riche en évènement à été concocté qu'on ne peut publié dans cette édition nous y reviendrons dans notre prochaine.