Il est clair par les choses et le temps, ils vont selon le mouvement qui anime la vie des choses et des êtres. Ne nous pourrons que complimenter, les responsables du Journal Réflexion qui nous ont permis de nourrir autrement par le partage et l'existence de tout ce qui se manifestera au niveau du contexte social, culturel, géographique, historique et économique. Benisaf va certainement sortir de son carcan du quotidien routinier. Ce support médiatique placera certainement et efficacement Benisaf dans la une de la semaine sur tout ce qui se rapporte à l'esprit collectif, à la connaissance des Benisafiens , à la parole comme expression qui fait le bruitage des journées que le Bon Dieu fait et enfin le plus important est bien sur l'action ;cette valeur tant désirée qui fait le bien de la chose utile et nécessaire. Nous parlerons de tout sur Benisaf de ses vestiges, de son port, de ses quartiers, de son patrimoine, de sa richesse, de sa sardine, de son minerai, de ses déboires, de son espoir, de ses escaliers, de ses icones, de son histoire et de sa géographie mais nous n'oublierons jamais la seule et unique ressource de Benisaf qu'est le Benisafien...l'unique artisan de la contrée...pour instaurer une nouvelle culture de civisme et surtout de la citoyenneté. La ville de Benisaf a été un havre de paix et de concorde pour un temps pas si loin de ça, aujourd'hui les Benisafiens n'arrivent toujours pas à assurer le minimum de la cohésion sociale, ils ont perdus le rôle de la rencontre et de l'échange constructif le chacun pour soi a défiguré le tissu social. Gastronomie Benisafienne : Le « Caldero » est un plat à base de poisson et de riz qui a été utilisé pour la garniture des fêtes de mariage, devant la flambée des prix du poisson le « Caldero » se fait rare, son gout aussi et son charme également ! , il a aussi la « Paella » et la « grillade de la sardine ». Pourquoi ne pas penser à instituer Benisaf comme capitale Gastronomique du poisson (créneau pour les investisseurs et aubaine pour les touristes. CADRE DE VIE BENISAFIEN : Associations, sociétés civiles, sages de Benisaf ,lambadas, intellectuels, commerçants, habitants de Benisaf, écoliers , élèves, étudiants, élus, professions libérales. Penser à réincarner les valeurs, et la morale de nos grands-pères pour améliorer notre cadre de vie. Imprégnez-vous de la discipline, de l'ordre, du respect du bien et de la personne, du respect de la norme de la cité pour enfin parler, penser et activer ; la culture se mettra au diapason et nous placera inéluctablement dans un nouveau cadre de vie serein et plus appréciable. VESPASIENNES BENISAFIENNES : Il existe plusieurs Vespasiennes appartenant à la commune de Benisaf , non fonctionnelles, le laxisme quand tu nous tiens !certaines sont « concessionnées » sans cahier de charge. Un service d'utilité publique n'est pas pris en considération par les gestionnaires de l'administration communale. LE PORT-LA PECHE La mine était une richesse destinée pour l'exportation, le port était une infrastructure de support pour la communication marchande, c'était un lieu de création de richesse aussi les petits bateaux de pêche nous ramenaient du poisson une richesse supplémentaire qui fait tout un monde. La mine donnait du travail aux Benisafiens, le port abritait les bateaux destinés pour le transport du minerai de fer vers l'extérieur, il y avait aussi l'exportation de la steppe, du vin, des oranges. Benisaf était aussi un chantier où on fabriquait des chalutiers, l'excédent du poisson était transformé en conserve par les conserveries. C'est un tout, un ensemble de facteurs économiques intégrés où le chômage ne faisait pas partie du langage des Benisafiens, la faim également. Il y avait la joie, le bonheur, le sport et la culture du bien être. Benisaf a son créneau spécifique c'est le poison, elle peut vivre et exister qu'avec du poisson. Faire une économie de poisson une contrée de poisson et une culture de poisson pour mieux vivre. Dans la cuisine Benisafienne le gout doit être « poissoné », dans le magasin ou épicier du coin, le poison doit être le premier article exposé, dans le marché l'odeur du poisson doit primée, dans l'école le poisson la leçon des choses commence avec le poisson. CULTURE BENISAFIENNE Benisaf avait enfanté depuis sa naissance des hommes de culture tels : - Jean Sénac, né à Beni-Saf (Ouest-Algérie) le 29 novembre 1926 et assassiné à Alger le 30 août 1973(sans que l'affaire ne soit élucidée), est un poète socialiste et libertaire algérien. Il a rejoint dès 1955 la cause de l'indépendance algérienne. -Moussa Boudjemaa Safi est l'auteur d'un livre intitulé « Béni-Saf entre mer et fer, éditions Dar El Gharb, Oran, 2008». -Benallal Mohamed écrivain. Ces personnalités de la culture Benisafienne font les assises culturelles de la ville de Benisaf . -Et également le fameux B.H.L Bernard Henry Lévy est aussi natif de Beni-Saf bien qu'il n'est pas trop estimé vu ses positions pro-sionistes.