Toutes les convoitises sont réunies, puisque l'université ‘'Ibn Khaldoun'' de Tiaret, recense le plus grand fichier électoral avec 30 000 étudiants, 1000 employés, 1000 enseignants, ceci d'une part et d'autre part, la haute instance de surveillance des élections est chapeautée par le recteur de l'université M. Mederbel Khelladi, ainsi que 2 professeurs, deux repères qui font la farce aux prédateurs tout azimut. Notant, que presque la totalité des partis politiques ont leur prolongement, voire un véritable creuset par le biais d'organisations estudiantines qui ont déjà dévoilé un exhibitionnisme de force et de gain de positionnement, et la confirmation a été suivie en début de semaine par les étudiants et les étudiantes qui se sont heurtés à des portes fermées de l'université durant presque deux heures, après une veilleuse de stabilité qui a duré quelque 4 années. Ces mobiles de fermeture, selon une source proche du rectorat visent à pousser les autorités à négocier des espaces d'intérêt, le temps où certaines organisations estudiantines considèrent leurs revendications comme étant légitimes, et dans ce sens, plusieurs milieux observateurs s'interrogent sur les enjeux de déstabilisation de l'université ‘'Ibn Khaldoun'' qui a fait beaucoup de pas dans le rayon : épanouissement et le mot consensuel, c'est ‘'qui est derrière ?!''. Pour remédier à cette situation, le recteur de l'université très intransigeant nous dira : « Pas de place pour les magouilleurs, les élections sont une propre compétition, on doit se battre avec honneur et dans la transparence sans porter préjudice à quiconque, et ces ‘'énigmatiques'' grèves et en dépit de leur sens de programmation portent atteinte à ce douillet berceau du savoir. Pour rappel, le ministre de l‘enseignement supérieur, M. Tahar Hadjar, s'est porté candidat et pelotonne la liste de députation du FLN à Tiaret.