Vivre le mal du pays dans son propre pays et partager ses douleurs, rester dans le camp des nationalistes est une autre bataille contre ceux qui se disputent le partage de notre pays sous les scintillements de la tour Eiffel et l'affection de la vieille galloise. À ceux qui n'ont pas vécu le vrai mal du pays durant la décennie noire, sous les bombes de la GIA, les prêches d'Ali Belhadj et les applaudissements des pays hébergeurs de Ferhat Mehani, Larbi Zitout, Mourad Dhina, Salim SALHI et Rachid Nekkaz, je leur ouvre la porte de l'histoire de l'Algérie, le pays d'un million et demi de martyrs, qui n'a pas encore panser les plaies des massacres de Sétif, et n'a pas toujours récupérer les crânes de Boubeghla et ses compagnons, ni entendre le mot de regret du locataire de l'Elysée. Dans mon pays, il y 'a deux décennies, quand le terrorisme faisait des ravages dans les douars, et le FMI menottait les caisses de l'Etat, condamnant l'Algérie à la famine forcée , des milliers de morts, des orphelins et des veuves dépressives , des usines et des écoles brulées , ça n'a déranger personne. Même pas les medias qui ouvrent aujourd'hui leurs plateaux aux intégristes, acteurs de ce drame, qui a failli rayer mon pays de la carte, si ce n'est, la bénédiction du créateur et le compatriotisme de la ‘'tenue verte'', que certains osent aujourd'hui la mitrailler à coups de mensonges et de calomnies. Dans mon pays, ils ont essayé maintes fois d'importer le printemps arabe pour tuer cette stabilité payée du sang des innocents, mais les multiples slogans des ‘'BHL'' de Abassi Madani et les agents de la DGSE de Ferhat Mehani ont fait échec devant l'éveil d'une jeuneuse qui a retenu la leçon de la Lybie, confirmant, l'exception algérienne au printemps arabe , prévenant l'occident que cette génération a fait son propre printemps algérien en 1988 et ne fera jamais du copier collé au modèle juif occidental ! Les généraux du sinistre Fis, Mohamed Larbi Zitout et Mourad Dhina, ou alors les indicateurs des services français, Rachid Nekkaz et Habib Samraoui ou encore le « journaleux » Salim Salhi de la chaine du FIS dissoute, Al-Magharibia, parlant tous une langue commune, le saupoudrage, tentent de bousculer encore une fois le pays vers la période des années 90. Payés au dollar cash, ils ne reculent devant rien pour mettre le pays à feu et à sang par des propagandes et incitations à la rébellion, un slogan qui est bien plaqué, sur le mur de la page Facebook de Karim Moulay, l'ancien officier , récupéré par les services spéciaux britanniques. En dépit de ce vent de la stabilité qui souffle sur mon pays, ses ennemis ont de la douleur de se remettre de leur choc. Ils ont mal au ventre de voir l'Algérie sortir indemne du printemps sioniste et de voir leur séjour en outre-mer menacé et anticipé par un retour dans la patrie avec un rendez-vous en référé avec la blouse noire. C'était un rappel du mal de mon pays, mais c'est le pays que j'aime et j'y reste fier pour le défendre contre cette nouvelle génération de journalistes à la plume ‘'terroriste''.