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Le Coran et la science
Publié dans Réflexion le 22 - 04 - 2010

Selon la tradition, la première révélation transmise au prophète par l'archange Gabriel et contenue dans ces versets : « Lis, au nom de ton seigneur qui a tout créé qui a créé l'homme de sang coagulé Lis, car ton seigneur est le plus généreux il a appris l'usage de la plume il apprit a l'homme ce qu'il ne savait pas ». (XCVI –I à 5). Véritable hymne au créateur des mondes, ce texte invite l'homme à la recherche du savoir en lui enjoignant l'ordre de lire. Comme en le sait, le prophète (et, à sa suite, ses compagnons) a pris ces versets au pied de la lettres et encouragé l'instruction par tous les moyens. A ce sujet, on raconte qu'a l'issue d'une bataille qu'il avait livrée aux infidèles Mecquois, il prit quelques- uns d'entre eux en otages. Au lieu de les livrer à la vindicte de ses soldats, il leurs demanda tout simplement de dispenser leur savoir à ses partisans, ce qu'ils firent, très volontiers. Cette anecdote prouve, s'il en est besoin, toute l'importance qu'attachait l'envoyé de Dieu a l'enseignement et, partant, à la science. Bien que, plus tard, l'Islam ait largement bénéficié de la riche expérience d'autres peuples (Perses, Grecs, etc…), le Coran n'en restait pas moins une vaste encyclopédie à laquelle se sont abreuvé et des générations d'hommes de science. A partir de plusieurs versets j'ai essayé de constituer un texte assez cohérent englobantans et résumant tous les énoncés scientifique du Coran. Je me suis abstenu volontairement de le surcharger de commentaires personnels, me limitant au strict minimum d'explication. La lecture de ce texte nous met à même de juger sur pièces de la pré/éminence de l'Islam et de nous assurer, du même coup, que ce Hadith : « Trop de science est préférable a trop de dévotion ne fait finalement que corroborer les écritures Saintes. Le genre humain : Processus global de la création et de la reproduction du genre humain Création: La création de l'être humain s'est opérée par stades successifs au moyen d'une matière à laquelle le Coran donne les noms de « limon » (6/2), « argile » (15/26), « poussière » (22/5), « argile fine » (23/12) et « terre » (comme celle du potier) (55/13). Avec ce produit extrait de la terre, Dieu « a moulu cette créature « en formes » (15/26). Le corps constitué, il fallait y inclure l'élément moteur : l'âme. Alors, le créateur lui « souffla de son esprit » (32/8). Et, ainsi, l'homme fut doté (parfaitement) d'un corps et d'un esprit. Reproduction : l'homme « a un réceptacle dans les reins de son père et un dépôt dans le sein de sa mère » (6/98). Sa reproduction procède « d'une goutte d'eau vile » (77/20), « sortie des reins et de la poitrine » (86/7), « fixée dans un réceptacle solide » (77/20) et contenant en germe « les deux sexes » (76/2). La métamorphose de cet être se prolonge méthodiquement : « la goutte devient un sang coagulé » (96/2) puis « un grumeau de sang, puis morceau de chair, tantôt formé, tantôt informe » (22/5) puis « un os revêtu de chair (…) formé par une seconde création » (23/14). Et l'embryon de l'être humain « passe d'une forme à une autre dans les ténèbres d'une triple enveloppe » (39/8). « Il est façonné d'après certaines productions » (80/19) et « il demeure dans les entrailles (de sa mère) jusqu'à un terme marqué » (25/5) pour en sortir « tendre enfant » (22/5). A sa naissance, il est « privé de toute connaissance » (16/81), « dans un état de faiblesse » (30/53) il reçoit successivement » l'ouïe, la vue et l'intelligence » (16/81). « Son sevrage dur deux ns » (31/13). « Après la faiblesse, il (reçoit) la force, après la force (…) faiblesse et cheveux blancs » (30/53). Et quand « ses jours se prolongent, son dos se courbe » (36/68). Dans le même chapitre, le Coran nous informe que l'homme a été pourvu de « liens de parenté et d'affinité » (25/56), que « sa multiplication se fait au moyen du couple » (42/9), que les hommes « ont des formes différentes » (71/13) et qu'ils sont « partagés en peuples et en tribus, pour se connaître » (49/13). Enfin, signe de la puissance divine, Dieu « accorde aux uns des filles, aux autres des garçons. Ou bien des filles et des fils. Et il rend stérile tel autre » (42/48). La vie C'est « une création de Dieu » (67/2). Elle a « un terme fixe » (6/2). Détail important : son origine est aquifère « au moyen de l'eau, nous donnons la vie à toutes choses » (21/31). La mort De même que la vie, c'est une « création de Dieu » (67/2). Voici comment elle se manifeste à l'homme : « Dieu (…) reçoit les âmes lorsque le moment de la mort est venu. Il saisit par le sommeil, image de la mort, ceux qui ne sont pas encore destinés à mourir. Il a s'empare sans retour de l'âme dont il a décidé la mort, renvoie les autres et leur permet d'y rester jusqu'au temps marqué » (39/43). Enfin, « la mort frappe les hommes tour à tour, à certains moments » (56/60) Le règne Anidial : Généralités : les animaux sont « créés d'eau » (24/44), et toute « l'espèce animale (se compose de) couples » (42/9). Ils sont soumis « aux hommes qui en disposent en maîtres » (36/71), auxquels ils servent de « nourriture » (36/72) et leur donnent des « vêtements » (16/5). En outre, ils portent « des signes propres à instruire les hommes » (16/68). On distingue parmi eux « huit espèces de bétail, à savoir : deux brebis et deux chèvres (…) deux chameaux et deux bœufs » (6/144) et, enfin, « les uns marchent sur leur ventre, d'autres sur deux pieds, et d'autres sur quatre » (24/44). Particularités : « le chien aboie quand tu le chasses (…) et aboie quand tu t'éloignes de lui » (7/174). « Les chevaux, les mulets et les ânes servent de monture et d'appareil » (16/8) des entrailles de l'abeille sort une liqueur variée qui sert de remède à l'homme » (16/71). « La demeure de l'araignée est la plus frêle » (29/40). Animaux cités nommément par le Coran Moucheron (2/24), veau (2/48), caille (2/54), singes (2/61), génisse (2/63), porc (2/168), âne (2/261), chèvres (6/144), chameaux, bœufs (6/145), moutons (6/147), sauterelles, vermines, grenouilles (7/129), poissons (7/162), chamelle (11/67), loup (12/13), oiseaux (12/36), mulets (16/8), abeille (16/70), serpent (20/21), mouche (22/72), fourmis (27/18), huppe (27/20), araignée (29/40), corbeaux (35/25), lion (74/51) papillons (101/3), éléphant (105/1), chien (7/174), chevaux (3/12), brebis (6/144), reptiles (35/25). Le règne végétal Généralités : la pluie « fait pousser les germes de toutes les plantes » (6/199) qui « éclosent en proportion » (15/19) et « nourrissent les troupeaux » (16/10). « L'arbre dont les racines son fermement enracinés dans la terre et dont les rameaux s'élèvent dans les cieux (…) porte des fruits dans chaque saison » (14/29). Quant à « l'arbre mauvais, (il) est à fleur de terre et n'a point de stabilité » (14/31). Les arbres fruitiers » sont supérieurs les uns aux autres par le goût » (13/4) Particularités “les branches des palmiers donnent des grappes suspendues » (6/99). « Le palmier et la vigne (fournissent) une boisson enivrante et une nourriture agréable » (16/69) et « le blé (…) donne la paille et l'herbe » (55/11). Végétaux cités nommément par le Coran Légumes, concombres, lentilles, ail, oignons (2/58), palmiers, vignes (2/268), olives, grenades (6/99), blé (6/142), dattes (19/25), moutarde (31/35), tamarins, lotus (34/15), herbes (55/11), bananiers (56/28), gingembre (76/17), trèfle (80/28), musc (83/26), figuier (95/1). Le règne minéral le Coran centre tout l'intérêt sur l'eau « source de vie de toutes choses » (21/31), qui « descend du ciel en certaine quantité » (23/18). Les fonctions attribuées à ce minéral sont nombreuses : « il rend la vie à la terre morte naguère » (2/159), « fait pousser les germes de toutes les plantes » (6/99) et « produit la verdure d'où sortent les grains disposés par séries » (6/99). De plus, « il sert de boisson » (16/10) et « désaltère des créatures, un nombre infini d'animaux et d'hommes » (25/51). Enfin, « il produit chaque couple précieux » (31/) Minéraux cités nommément par le Coran Or, argent (3/12), limon (15/26), argile (15/26), pierre, fer (17/53), airain (18/95), cristal (27/44), hyacinthe, corail (55/58), perles (76/19). La terre : la terre est un « lit » (2/20) « étendu… comme un tapis » (43/9). Elle est destinée à « renfermer les vivants e les morts » (77/25). « Ses limites se resserrent » (13/41). Elle se compose de « sept (couches) » (65/12) et « contient des portions différentes par leur nature, quoique voisines » (13/4). Et « elle se fend pour faire germer les plantes » (86/12). A noter que « la bonne terre produit de bons fruits (…), la mauvaise n'en donne que de mauvais » (7/56). Le relier terrestre Les montagnes : elles font fonction de « pilotis » (78/7) et sont tracées de « sentiers blancs et rouges » (35/25). « Comme les nuages, elles se déplacent avec les hommes » (16/15) auxquels elles servent de « retraite » (16/84). Les fleuves : tout comme les chemins « ils dirigent la marche des hommes » (16/15). Les rochers : « Ils se fendent et font jaillir l'eau » (2/69). Les torrents : « Ils coulent des rochers » (2/69) La mer : la mer donne « des chairs fraiches (et) des ornements » (16/14) et fournit « des perles et du corail ». (55/22). Le coran distingue entre « deux mers rapprochées (dont) l'une est d'eau douce et rafraichissante et l'autre salée et amère » (25/55). Et il ajoute « entre elles, (existent) un espace et une barrière insurmontables » (25/55). Et sur ses eaux, « voguent les vaisseaux pour apporter aux hommes des choses utiles » (2/159). Le ciel : le ciel est un « abri » (2/20), « un toit solidement établi » (21/33), « un édifice » (40/66), « élevé sans colonnes visibles » (13/2) et sans « fente » (50/6). Il est formé de « couches s'enveloppant les unes sur les autres » (71/14) et « orné de douze signes (85/1), « disposés en ordre » (15/16). Et « il accomlit de révolution » (86/11). Le ciel « le plus proche de la terre est orné d'étoiles brillantes » (37/6). Le soleil : il est « soumis à des lois » (7/52),
« sert de flambeau » (71/25), « éclaire le monde » (10/5), et « guide l'ombre » (25/47). « il court dans une sphère à part » (21/34), « poursuit sa course jusqu'à un point déterminé » (13/2) et permet de calculer « le comput du temps » (6/96). La lune : elle est « soumise à des lois » (7/52) et « reflète la lumière du soleil » (10/5). « Elle court dans une sphère à part » (21/34). « ses phases (sont) déterminées » (10/5). Elle « observe des stations » (36/39) et « poursuit sa cource jusqu'à un point déterminé » (13/2). Elle sert enfin à connaitre « le nombre des années et leur comput » (10/5). Les étoiles : sont « soumises à des lois » (7/52) et, « elles dirigeant les hommes dans les ténèbres, sur la terre et les mers. » (6/97). Le temps : « le nombre des mois est de douze » (9/36). Le jour : « la lumière du jour » (10/68) autorise « le mouvement » (25/49). La nuit : c'est « un manteau » (25/49) qui favorise « le repos » (6/96) du monde. Elle « enveloppe le jour » (13/3). Les vents : « ils sillonnent les nuages » (30/47) « les poussent légèrement, les réunissent, les entassent par monceaux » (24/43) et les dirigent « vers le pays mort de sécheresse » (7/55). S'ils se calment » les navires restent immobiles à la surface des eaux » (42/31). Les nuages : « sont chargés de pluie » (13/13) et « astreints au service entre le ciel et la terre » (2/159).

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