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LE CHEF DE LA DAIRA DE FRENDA EXPLIQUE : « L'assainissement des listes des bénéficiaires de logements sociaux ou ruraux est une obligation civilisationelle !!! »
Toutes les tentatives de certains milieux influents dans la daïra de Frenda en vue d'injecter des noms connus et loin d'être dans le besoin d'un quelconque logement se sont heurtées à un véritable bouclier reflété par des opérations menées au peigne fin par l'actuel chef de daïra de Frenda. Lequel a confié cette mission, combien sensible à une personne qui a fait dévoiler des capacités d'investigations ayant même honoré le chef d'exécutif, M. Hadj Bousmaha, ainsi que les services de sécurité. Le slogan qui s'est marié à cette opération d'assainissement des listes de bénéficiaires de logements était le souci de vendre le concept d'algérianité sur de bons rails et la preuve irréfutable serait la nouvelle conception du service relatif au recensement des demandeurs de logements dont l'effectif serait de l'ordre de 7000 pour uniquement la commune de Frenda qui comparativement aux autres communes de la wilaya, n'a pas eu le quota proportionnel en raison de ses statistiques (le dernier recensement fait état de près de 50.000 habitants), à cela s'ajoutent le défaitisme d'ex-responsables au niveau de la daira de Frenda, conjugué à des élus démissionnaires et le diktat de certains notables et quoique la presse était engagée à mener un combat noble, aucune enquête n'a été ouverte dans ce sens puisque des milieux influents se cachent toujours derrière le diktat des années de braise et l'actuel chef de daira a hérité, faudrait-il le rappeler,d'un cumul d'aberrations et de flagrantes erreurs commises à l'adresse de certains citoyens spécifiquement nécessiteux et la riposte a été reflétée par une stratégie de déstabilisation menée par des certes aux tendancieuses usant du langage de « Tchipa ». Cependant leurs objectifs n'ont pas été atteints. Le chef de daira s'est déplacé lui-même à l'assaut de l'Algérie profonde faisant du porte à porte accompagné de bons éléments dotés de renseignements très puissants avec des capacités d'investigations très avancées, un alibi qui a permis au chef de daira de débusquer tous les dépassements en signalant bien qu'une fois les listes affichées aucun incident n'a vu le jour et la satisfaction des heureux bénéficiaires a pris le dessus mettant fin à toutes spéculations. Pour rappel, le chef de daira ne possède qu'un F3 à Sidi Bel Abbès et les services concernés sont vivement sollicités à mener une enquête dans ce sens, et des commis de l'Etat, dans le besoin, ne manquent pas en Algérie, et il est du devoir des ministères concernés une volonté d'une réelle prise en charge de ces commis délaissés à eux-mêmes, cet ordre d'idées a motivé le chef de daira modeste et animé de timidité, à briser le mur du silence, et nous a officiellement déclaré ce qui suit : « le langage de la « Tchipa » n'est pas dans notre agenda et si un cas de dépassement n'était signalé je n'observerai aucune tolérance, l'assainissement des listes est une obligation civilisationnelle. Pas de place à la médiocrité et seul le besoin est totalement pris en charge » conclut M. le chef de daira de Frenda.