Les élus saisissent le ministre de l'intérieur et revendiquent l'ouverture d'une enquête C'est le grand blocus, le dialogue n'a pas de place. L'administration à Tiaret se démarque passivement des doléances et des aspirations des élus. Takhemaret parait être marginalisée sur ordonnance et quoique des correspondances ont été adressées à la tutelle. Rien ne pointe à l'horizon. M. le wali a pris congé et le bouillonnement au sein de l'A.P.C a atteint le summum. Seule l'intervention de M. le ministre d'état, ministre de l'intérieur et des collectivités peut être salutaire. Un véritable bras de fer s'affiche entre les élus de l'A.P.C de Takhemaret et le chef de Daïra et qui certainement finira vers le pire et le citoyen se heurtera toujours aux néfastes répercussions que produirait ce bras de fer. En effet, dans une correspondance envoyée au département de Yazid Zerhouni et dont une copie a été remise à notre rédaction en date du 03-01-2010, les élus haussent le ton et revendiquent l'ouverture d'une enquête ministérielle « la fonction des élus a été occultée par le chef de Daïra de Frenda. L'administration de la daïra de Frenda foule les lois républicaines. Le chef de daïra émet de fausses informations à M. le wali et ne s'arrêtant pas à ce point, le chef de daïra se propose comme porte parole de la pieuvre mafieuse et s'est mis toujours à la disposition de certaines personnes dont l'influence n'est pas à démontrer. nous n'avons pas compris le silence du wali de Tiaret, lit-on dans la correspondance, malgré les liasses de correspondances, que nous lui avons adressées, et cela en dépit de toutes les délibérations légales, où nous avons affiché notre refus au diktat, du chef de daïra tout en rappelant à l'opinion publique, que nous n'avons aucune intention de créer le blocus ou un quelconque conflit au sein de l'A.P.C, et que le P/APC lui-même, a fait l'objet de marginalisation, comme il l'a officiellement déclaré lors des différentes séances de délibérations. Nous informons que l'APC de Takhemaret n'a reçu aucune correspondance du chef de daïra relative aux recours et aucune commission locale n'a été désignée. Le chef de daïra s'amuse à détourner l'opinion publique. Les changements opérés dans la liste des bénéficiaires de logements ruraux, ont bel et bien eu lieu dans son bureau, et il n'a présenté aucun recours à l'APC pour voiler ses dépassements, et allant loin, il a eu recours à des personnes influentes et pourries d'antécédents judiciaires et nous dévoilerons leurs noms lors des enquêtes, tant à signaler, que la majorité de ceux qui ont bénéficié, tissent des liens de parenté avec les personnes influentes. Faudrait-il rappeler, lit-on toujours dans la correspondance, que l'Ex- chef de daïra a établi une liste, selon les normes requises en présence d'une commission légitime et le comble l'actuel chef de daïra, imposant son diktat a changé prés de 50 % de cette liste, se vantant que la méthode de son travail est plus efficace, que celle de l'Ex- chef de daïra actuellement en poste à Bouguirat (wilaya de Mostaganem. L'actuel chef de daïra a laissé une autre liste traîner dans les tiroirs de son bureau, la 1ère en date du 06/12/2008 et l'autre en date du 23/02/2009, sans aucune justification et avec l'intention de salir notre image, aux yeux de la population et pour d'amples et d'autres raison, nous revendiquons l'enquête ministérielle appuyée par une commission parlementaire, tout cela pour garantir le respect des lois républicaines et l'authenticité de la culture d'état. Le chef de daïra a écarté le P/APC de Takhemaret qui est un élément essentiel de la commission d'attribution de logements. Le bras de fer prend des proportions alarmantes et le chef de daïra paraît être sourd aux cris des élus. No comment.