A Mostaganem, il y a très certainement des bonnes volontés qui sont prêtes à se mobiliser bénévolement et /ou professionnellement dans cette véritable guerre contre cet impitoyable tueur qui nous vient du pays du soleil levant qu'est le Covid-19.Seulement voilà, il y a de nombreux citoyens qui pensent que l'organisation politique, sociale et économique relève de la responsabilité des APC qui doivent jouer le rôle qui leur est dévolu par les lois de la République. Dans ce cas de cette pandémie, du coronavirus covid-19, confirmée par l'organisation mondiale de la santé, la réaction tardive des instances populaires est insignifiante. Cette sentence à caractère prémonitoire, fait remarquer que les mairies sont quasiment paralysées et impotentes au point de manquer totalement de réactivité et que même des réactions tardives sont obsolètes. Une autre remarque pertinente est faite par ce citoyen qui trouve qu'il y a comme une dilution des responsabilités où chacun des responsables compte sur l'autre alors que le maire est, par définition, le seul qui représente à la fois, le peuple et l'Etat alors qu'il ne prend aucune initiative dans le processus de lutte pour contrecarrer la progression du satané virus covid-17.Le maire de chaque commune est en train de rater l'occasion, parfois pour si peu de chose, de se tenir mobilisé auprès de ses citoyens dont la majorité on voté pour lui et pour les membres de l'assemblée populaire communale. Le minimum à faire, selon des citoyens, est au moins d'assurer une bonne communication par tous les moyens disponibles (diffusion sonore au mégaphone de spots, diffusion de spots informatifs visuels sur écran géant, diffusion de communiqués sanitaires...),une bonne opération de fumigations nocturnes de désinfection dans le tissus urbain, une bonne concertation avec les différents organes de l'exécutif de la wilaya pour des actions spécifiques dans les quartiers pauvres et populeux ainsi que vers les vieux du centre social de Dabdaba ."On n'a rien à faire avec des APC qui sont en manque d'initiatives humaines et humanistes, en des moments très sensibles de la vie des citoyens de leur commune et le comble, ils pensent à nous que le moment du vote !..." a lâché ce vieillard au front ridé, à la barbe hirsute et l'air hagard apparemment, au bord du blasphème qu'il n'osera jamais prononcer.