Les lycéens de la commune dés héritée de Breira se baladent entre deux établissements scolaires du secondaire, celui de la commune de Béni Haoua située à 20 km de leur résidence et celle de la commune de Zeboudja à 40 km du Chef -lieu de la wilaya de Chlef, ces jeunes scolaires semblent être marginalisés par rapport à leur collègues des communes avoisinantes . Voilà que toute la population de la commune de Breira réclame en urgence la construction d'un lycée au même titre que les autres communes de la wilaya et qu'ils ressentent que les autorités locales restent sur une grand silence et aucune suite n'a été réservée à leurs doléances et campent toujours sur leur position, les élèves victimes par ce problème celui répétons-le l'absence de lycée dans leur commune, absence de distraction et de loisirs, obligés à la recherche d'une place en régime d'internat et afin de mieux se rapprocher de leur résidence, une commune sous-développée sont orientés pour étudier vers le lycée dans la commune de Zeboudja à cause de l'absence totale d'un établissement scolaire ( lycée) à Breira étant donné que le lycée de la commune de Béni Haoua est saturé, d'autres élèves ne pouvaient donc supporter réclament ainsi en premier lieu leur intégration vers la daïra où ils ont l'habitude d'étudier donc à Béni Haoua, selon les informations recueillies de la tutelle, voire la direction de wilaya de l'éducation de Chlef a qui on a demandé à avoir en un entretien commun et ce en accord avec les parents d'élèves de la commune de Breira d'où il a été bien entendu que leur enfants scolarisés seront transférés en régime d'internat provisionnement vers le lycée de la commune de Zeboudja outre cette destination (Zeboudja) et ce que pensent déjà les parents en cas que le lycée de Zeboudja ne dispose plus de place d' internat ou bien il se trouve dans un état déplorable, dégradant ou défavorable quelle sera la meilleure solution à prendre par les services de la direction de l'éducation de Chlef, enfin selon notre même source, les parents de 5 pauvres élèves lycéens déclarent ouvertement ne pas s'arrêter là donc à si bon chemin même s'il faut trouver une issue pour être auditionné par M. Benbouzid ministre de l'éducation.