énommé Souk Enssa parce que littéralement envahi par la gent féminine toute la journée, ce « bidonville » au cœur même de la ville et côtoyant le marché couvert et le lycée Bachir-Gassab, avec ses baraques construites en roseaux et autres matériaux de fortune, a pris de l'ampleur au point d'exaspérer et les riverains et les commerçants exerçant dans la légalité avec des prix défiant toute concurrence. Et pourtant, la grande majorité de ces « illégaux » ne possèdent pas de registre du commerce et ne sont pas assujettis aux impôts. Il faut remonter au temps de la Délégation exécutive communale (ex-DEC) qui leur a permis de s'installer. Des sommes faramineuses sont brassées chaque jour que Dieu fait en toute impunité. Quant au cadre de vie des citoyens agressés dans leur quotidien, c'est une autre affaire. Pourtant, beaucoup de P/APC sont passés par là et aucune mesure de salubrité publique n'a été prise jusqu'à aujourd'hui. A quand la fin de ce calvaire ?