Laissés pratiquement «la bride sur le cou», par les services concernés par la lutte contre les tapages diurne et nocturne, des centaines de jeunes cyclomotoristes circulent à plein gaz dans les quartiers de la ville de Saïda, avec des engins à deux roues privés de silencieux, qui pourtant doit être obligatoirement placé dans leur pot d'échappement, afin de réduire les nuisances sonores et ne pas perturber le repos des citoyens. Ces bruits assourdissants sont d'autant plus intolérables qu'ils interviennent par temps chaud durant la sieste ou la nuit. Nombreux sont les citoyens à s'être en effet présentés à notre bureau de Saïda, pour appeler les autorités concernées à réglementer la circulation de ces engins et en obligeant ces contrevenants à se conformer aux conditions requises à la mise en circulation de ces engins infernaux.