Comment donner le goût aux employés et de mieux performer? Comment capter leurs intérêts? Comment soigner l'image d'un service public -dont les missions ne sont que nobles et importantes- exerçant dans des conditions défavorables? C'est le cas de l'agence de l'emploi Alem de Sig, située au niveau de la zone d'activité de la ville et qui n'a d'une administration que le nom. Privée d'eau, de gaz, surtout de sanitaire, et même de soleil, cette structure est censée assurer la régulation du marché de l'emploi couvrant une zone industrielle -celle de Sig, d'Oggaz et de Zahana-, la plus importante de la Wilaya de Mascara. D'après le personnel, toutes les actions menées pour un éventuel déménagement, et ce, depuis belle lurette, sont restées vaines malgré les promesses des autorités locales d'affecter l'ex-centre commercial de la SONIPEC à l'ensemble des services œuvrant pour l'emploi, y compris l'ANEM. Mais un proche d'un élu de cette ville, qui y gardait ses plantes gratuitement et pendant longtemps même, a refusé de remettre les clés à la mairie. L'ANEM a connu un changement radical en matière d'encadrement et de moyens matériel aux fins d'une meilleure prestation de service vis-à-vis des demandeurs ou employeurs mais aussi son champ d'intervention s'est élargi. En plus de la régulation du marché de l'emploi –offres et demandes- elle est chargé de mettre en œuvre toute les politique de promotion de l'emploi –dispositifs d'insertion- au niveau local en collaboration avec la direction de l'emploi de Wilaya. La philosophie s'avère bien utile quand il s'agit de réguler l'emploi et de convaincre les usagers de l'administration (demandeurs d'emploi). L'ANEM devient un guide, un gardien des valeurs de l'organisation. La participation, l'écoute, le respect, l'engagement et la créativité constituent l'essentiel de ces valeurs. Il importe de s'intéresser à cette structure, lui accorder de l'attention et faire en sorte que son personnel adopte une attitude positive afin d'accomplir ses mission avec entrain et plaisir -il n'y a pas longtemps, les jeunes filles demandeuses d'emploi avaient peur d'aller au bureau de main-d'œuvre, vu son emplacement et son isolement- et c'était uniquement pour les hommes. Motiver ce personnel, c'est donner un sens à son travail, lui faciliter la tâches pour atteindre les objectifs, lui offrir une qualité de vie au travail et lui manifester de la reconnaissance et de la considération car les chômeurs ne vont pas se plaindre chez les chefs de daïra ni chez les maires mais au bureau de main-d'œuvre et souvent en menaçant le personnel, surtout que celui-ci est isolé. Malheureusement, dix personnes ont actuellement à exercer dans une superficie ne répondant plus aux normes d'une agence moderne, le personnel n'arrivant même pas à bouger. Même la construction et ses composants (amiante) représentent un danger pour ce personnel et ceux de l'inspection de travail, les services du cadastre et de la circonscription des forêts. Messieurs les responsables, consacrez un peu de votre précieux temps à ces problèmes. ces bureaux ne sont pas aptes à abriter les poules ou même utilisés comme des porcheries dans les pays qui se respectent, alors que des associations de danse et de chant sont mieux considérées. C'est la première fois qu'une administration me fait de la peine, en allant me plaindre pour un emploi à ma fille, je me suis trouvé obligé de crier la cause de l'ALEM de Sig, wallahi H'ram! Chibani Mohammed Sig - Wilaya de Mascara Performances, dites-vous ? Comment donner le goût aux employés et de mieux performer? Comment capter leurs intérêts? Comment soigner l'image d'un service public -dont les missions ne sont que nobles et importantes- exerçant dans des conditions défavorables? C'est le cas de l'agence de l'emploi Alem de Sig, située au niveau de la zone d'activité de la ville et qui n'a d'une administration que le nom. Privée d'eau, de gaz, surtout de sanitaire, et même de soleil, cette structure est censée assurer la régulation du marché de l'emploi couvrant une zone industrielle -celle de Sig, d'Oggaz et de Zahana-, la plus importante de la Wilaya de Mascara. D'après le personnel, toutes les actions menées pour un éventuel déménagement, et ce, depuis belle lurette, sont restées vaines malgré les promesses des autorités locales d'affecter l'ex-centre commercial de la SONIPEC à l'ensemble des services œuvrant pour l'emploi, y compris l'ANEM. Mais un proche d'un élu de cette ville, qui y gardait ses plantes gratuitement et pendant longtemps même, a refusé de remettre les clés à la mairie. L'ANEM a connu un changement radical en matière d'encadrement et de moyens matériel aux fins d'une meilleure prestation de service vis-à-vis des demandeurs ou employeurs mais aussi son champ d'intervention s'est élargi. En plus de la régulation du marché de l'emploi –offres et demandes- elle est chargé de mettre en œuvre toute les politique de promotion de l'emploi –dispositifs d'insertion- au niveau local en collaboration avec la direction de l'emploi de Wilaya. La philosophie s'avère bien utile quand il s'agit de réguler l'emploi et de convaincre les usagers de l'administration (demandeurs d'emploi). L'ANEM devient un guide, un gardien des valeurs de l'organisation. La participation, l'écoute, le respect, l'engagement et la créativité constituent l'essentiel de ces valeurs. Il importe de s'intéresser à cette structure, lui accorder de l'attention et faire en sorte que son personnel adopte une attitude positive afin d'accomplir ses mission avec entrain et plaisir -il n'y a pas longtemps, les jeunes filles demandeuses d'emploi avaient peur d'aller au bureau de main-d'œuvre, vu son emplacement et son isolement- et c'était uniquement pour les hommes. Motiver ce personnel, c'est donner un sens à son travail, lui faciliter la tâches pour atteindre les objectifs, lui offrir une qualité de vie au travail et lui manifester de la reconnaissance et de la considération car les chômeurs ne vont pas se plaindre chez les chefs de daïra ni chez les maires mais au bureau de main-d'œuvre et souvent en menaçant le personnel, surtout que celui-ci est isolé. Malheureusement, dix personnes ont actuellement à exercer dans une superficie ne répondant plus aux normes d'une agence moderne, le personnel n'arrivant même pas à bouger. Même la construction et ses composants (amiante) représentent un danger pour ce personnel et ceux de l'inspection de travail, les services du cadastre et de la circonscription des forêts. Messieurs les responsables, consacrez un peu de votre précieux temps à ces problèmes. ces bureaux ne sont pas aptes à abriter les poules ou même utilisés comme des porcheries dans les pays qui se respectent, alors que des associations de danse et de chant sont mieux considérées. C'est la première fois qu'une administration me fait de la peine, en allant me plaindre pour un emploi à ma fille, je me suis trouvé obligé de crier la cause de l'ALEM de Sig, wallahi H'ram! Chibani Mohammed