Les usagers de bus desservant la ligne Aïn El Turck-Oran se sont plaints de la hausse du phénomène du vol dans les bus qui commence à prendre des proportions inquiétantes et dont ils ont été victimes, selon leurs déclarations, ce qui met leur sécurité au danger. Le pire dans l'histoire est que ses pickpockets utilisent maintenant des objets tranchants, dont des armes blanches pour menacer leurs victimes, comme cela a été indiqué par Meriem, qui déclarera : « nous ne nous sentons plus en sécurité en empruntant les bus reliant la commune de Aïn El Türck à Oran, vu le nombre de voleurs qui rodent dans les bus en toute impunité, utilisant des armes blanches, et ce, en absence de sécurité. Il est impératif de trouver une solution au problème avant que les choses ne prennent une tournure beaucoup plus grave.» Un autre citoyenne témoignera: «le phénomène ne se limite par au niveau de la ligne Aïn El Türck-Oran, mais concerne d'autres lignes dont celles du 4G et du 51 en plus de la ligne 11. Nous évitons carrément d'emprunter ces bus de peur de tomber entre les mains des voleurs, alors que les services concernés ne sont par intervenus.», « Une fois justement, j'ai assisté à une scène terrible, où une jeune femme a été agressée par un individu qui lui a volé ses boucles en or et son téléphone portable, aucun des passagers du bus n'a réagi pour la défendre, ni même le chauffeur et le receveur. » Reprendra-t-elle. Les citoyens ont appelé les autorités de tutelle, dont les services de la Sûreté particulièrement, à intervenir pour mettre un terme à ce phénomène. D'autre part, nous nous sommes adressé à un chauffeur de bus desservant la ligne, il nous dira: « Nous ne sommes pas responsables sur ce qui se passe à l'intérieur du bus. Mon seul rôle se limite à la conduite du bus sans plus. » Un receveur dira de son côté : « Je ne vous cache pas que les voleurs nous guettent lorsqu'ils empruntent le bus. Moi, je ne peux pas avoir une idée si un voleur va voler, ou pas, et je ne peux pas surveiller le bus, vu que cela ne relève pas de nos prérogatives. »