De grandes figures sportives, dont Adlène Guedioura, Lakhdar Belloumi, Cherif El Ouazzani Si Tahar et Foussi Tayeb, ont rendu visite, dernièrement, aux enfants hospitalisés au centre des enfants cancéreux de l'hôpital Emir Abdelkader. La délégation, à laquelle se sont également joints trois joueurs du MCO, à savoir Seddik Berradja, Zoubir Ouasti et Houari El-Ghoul, a été accueillie avec grande joie par les 46 enfants pensionnaires de ce centre. Le président de l'Association La Radieuse d'Oran, derrière cette initiative, en l'occurrence Chafi Kada a profité de l'occasion pour lancer un message aux clubs sportifs et aux associations, les exhortant à faire un geste analogue envers les jeunes malades. Pour sa part, Adlène Guedioura, les larmes aux yeux, a remercié le personnel médical, les paramédicaux, la direction du centre et les employés, pour les efforts déployés en direction de ces enfants -garçons et filles- qui, devant tant de sollicitude à leur égard, étaient tous heureux et l'un de leurs souhaits était que cette visite ne se termine pas. Les enfants qui ont reconnu leurs joueurs préférés n'ont pas caché leur joie et leur ont demandé de revenir les voir. La délégation de l'Association La Radieuse a ensuite procédé à une remise de cadeaux, un geste qui a été très apprécié par les enfants malades, ceci en plus d'une contribution matérielle comprenant deux téléviseurs couleur et un démodulateur numérique. Impressions à chaud Adlène Guedioura: «J'ai profité de mon passage à Oran, pour participer à cet acte de solidarité avec La Radieuse. Je pense que nous devons apporter plus de soutiens à cette catégorie de la population, particulièrement quand elle se trouve confrontée à des difficultés surtout médicales. Je souhaite un rétablissement rapide à tous les enfants auxquels nous avons rendu visite aujourd'hui.» Mourad Belkaïd
Lakhdar Belloumi: «Je pense qu'il faut que les sportifs et surtout les associations et les grands clubs de football prennent l'initiative de rendre visite aux enfants malades. De petits cadeaux et une aide symbolique ne grèveraient pas leurs budgets. C'est du moins l'appel que je leur lance, car ces enfants qui vivent dans la douleur, ont besoin de toute notre sollicitude».