Les services du ministère des Affaires étrangères "n'ont été ni informés ni consultés" au sujet de la nouvelle mesure qui obligerait les milieux d'affaires algériens à s'engager à ne pas demander de titre de séjour ni à bénéficier de prestations sociales ou médicales en France, a indiqué dimanche une source proche du ministère. "Cette mesure, si elle venait à être confirmée, laisserait planer le doute sur la bonne foi des milieux d'affaires nationaux", a-t-on ajouté, estimant que cette mesure "préjuge du résultat des discussions consulaires devant commencer dans un proche avenir".