Le premier président de la Cour suprême, Kaddour Berradja, a affirmé lundi que "le juge algérien prononce ses verdicts en toute liberté et crédibilité", réfutant ce qui a été mentionné dans le rapport annuel sur la situation des droits de l'Homme en Algérie pour l'année 2012 qui remet en cause la crédibilité de la magistrature.