Les travaux du 27e sommet ordinaire arabe ont débuté lundi à Nouakchott (Mauritanie), avec la participation du président du Conseil de la Nation, Abdelkader Bensalah, représentant du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, dans un contexte marqué par de nombreux défis d'ordre sécuritaire et économique qui se posent à la région arabe et qui en appellent à une action et une coordination entre tous les pays arabes. Sous le slogan de "Sommet de l'espoir, les dirigeants arabes se pencheront deux jours durant, sur plusieurs questions, dossiers et décisions inscrites à l'ordre du jour dont le rapport soumis au sommet sur l'activité de l'instance de suivi des décisions et engagements, le rapport du secrétaire général sur l'action arabe commune, la cause palestinienne, le conflit arabo-israélien et l'évolution de la situation en Syrie, en Libye et au Yémen. Entre autres points qui seront examinés par les dirigeants arabes ou leurs représentants à l'exception de la Syrie dont le siège restera "vide" en vertu de la décision du conseil de l'organisation panarabe portant gel de sa participation aux réunions de la Ligue, figurent 16 clauses et des questions liées au maintien de la sécurité nationale, à la lutte contre le terrorisme, au développement de la Ligue, à l'action socio-économique et aux date et lieu de la tenue de la 28e session du conseil de la Ligue.