Le président de l'Assemblée populaire nationale (APN), Saïd Bouhadja a réitéré, mardi à Téhéran (Iran), que "l'Algérie demeurait fidèle à ses principes, engagée par les chartes et résolutions internationales et attachée à la paix et à la sécurité internationales et au règlement des conflits par les voies pacifiques". Dans son allocution lors des travaux de la 13e session de l'Union interparlementaire des Etats membres de l'Organisation de la coopération islamique (UPCI), M. Bouhadja a réaffirmé que "l'Algérie demeurait fidèle à ses principes, engagée par les chartes et résolutions internationales et attachée à la paix et à la sécurité internationales, au règlement des conflits par les voies pacifiques et à la non ingérence dans les affaires internes des pays". Soulignant que "le Monde musulman est confronté à des défis majeurs dont le terrorisme et le crime transfrontalier" le président de l'APN a appelé à "la conjugaison des efforts pour leur faire face et éliminer les causes de leur propagation". "Notre responsabilité historique, en tant que représentants et porte-paroles de nos peuples et leurs aspirations à la préservation de la souveraineté nationale, à la protection des lieux sacrés, au raffermissement de la paix et de la sécurité et à la concrétisation du développement et de la prospérité, nous imposent des positions de solidarité en faveur du peuples palestinien afin de déjouer les plans sionistes visant la judaïsation d'El-Qods", a soutenu M. Bouhadja. Il a plaidé dans ce sens pour "la mobilisation du soutien international en faveur de positions unifiées dans tous les cadres parlementaires bilatéraux et multilatéraux en intégrant la cause palestinienne comme question urgente et permanente lors de toutes les sessions de l'union interparlementaire (UIP) et réunions des unions et associations interparlementaires régionales et régionales". Par ailleurs, le président de l'APN a indiqué que "le génocide, l'épuration ethnique, la persécution et la déportation forcée constituent des pratiques graves dont souffrent les Rohingyas de confession musulmane", réitérant l'appel à "leur protection du génocide", partant du "devoir religieux et humains. Il a prôné, à ce propos, l'encouragement des initiatives du dialogues entre les religions, les cultures et les civilisations, la non-politisation des croyances et la consécration de la citoyenneté".