Le Conseil national des droits de l'homme (CNDH) a affirmé, mercredi, que l'Algérie avait franchi d'"importants" pas en matière de consécration des droits de l'homme, à travers la promulgation de nouvelles lois et l'actualisation d'autres textes conformément à ses engagements internationaux. "L'Algérie a franchi d'importants pas sur la voie de l'édification de l'Etat de Droit et la consécration des droits de l'homme", notamment par la promulgation de nouvelles loi et l'actualisation d'autres conformément à ses engagements internationaux et régionaux, suite à son adoption des chartes relatives aux droits de l'homme, a indiqué un communiqué de cette instance à l'occasion de la célébration de la journée arabe des droits de l'Homme. Evoquant les dispositions de la Constitution de 2016, notamment ses 42 articles qui constituent "un socle pour la consécration des droits fondamentaux conformément aux droits et à la dignité humaine", le CNDH a rappelé le développement durable cité dans le préambule de la Constitution, lequel stipule que "le peuple algérien demeure attaché à ses choix pour la réduction des inégalités sociales et l'élimination des disparités régionales. Il s'attèle à bâtir une économie productive et compétitive dans le cadre d'un développement durable et de la préservation de l'environnement". La Constitution prévoit également dans le premier alinéa de l'article 19 que "l'Etat garantit l'utilisation rationnelle des ressources naturelles ainsi que leur préservation au profit des génération futures", a ajouté la même source. Le droit au développement est un droit de l'homme stipulé dans la charte des Nations Unies qui met l'accent sur la promotion du développement social et l'amélioration du niveau de vie dans un climat de liberté plus vaste, a réaffirmé le CNDH. La Déclaration universelle des droits de l'homme comporte nombre de principes qui constituent "le pilier du droit au développement". Ce dernier est stipulé également dans le Pacte international relatif au droits civils et politiques et le pacte relatif aux droits économiques et socio-culturels. La Charte arabe des droits de l'homme a évoqué ce volet dans son article 37 qui le considère comme étant "un droit parmi les droits fondamentaux de l'homme", appelant tous les pays à "établir des politiques de développement et des mesures requises pour assurer ce droit", souligne le communiqué. Le Conseil accorde un grand intérêt à ce sujet lié à une vie décente du citoyen pour la promotion et la prospérité de la société", d'autant qu'il aspire à ce que "les principales exigences des différentes catégories du peuple soient prises en considération pour une meilleure vie". A l'occasion de la journée arabe des droits de l'homme coïncidant avec le 16 mars de chaque année et approuvée par le Conseil de la Ligue arabe le 12 septembre 2017 sous le slogan "Droit de l'homme et développement durable", le Conseil a appelé le citoyen arabe à faire de cette journée une occasion pour "renforcer sa détermination et l'encourager dans sa lutte pour l'obtention de tous ses droits civiles, politiques, économiques et socio-culturels". "L'Algérie a franchi d'importants pas sur la voie de l'édification de l'Etat de Droit et la consécration des droits de l'homme", notamment par la promulgation de nouvelles loi et l'actualisation d'autres conformément à ses engagements internationaux et régionaux, suite à son adoption des chartes relatives aux droits de l'homme, a indiqué un communiqué de cette instance à l'occasion de la célébration de la journée arabe des droits de l'Homme. Evoquant les dispositions de la Constitution de 2016, notamment ses 42 articles qui constituent "un socle pour la consécration des droits fondamentaux conformément aux droits et à la dignité humaine", le CNDH a rappelé le développement durable cité dans le préambule de la Constitution, lequel stipule que "le peuple algérien demeure attaché à ses choix pour la réduction des inégalités sociales et l'élimination des disparités régionales. Il s'attèle à bâtir une économie productive et compétitive dans le cadre d'un développement durable et de la préservation de l'environnement". La Constitution prévoit également dans le premier alinéa de l'article 19 que "l'Etat garantit l'utilisation rationnelle des ressources naturelles ainsi que leur préservation au profit des génération futures", a ajouté la même source. Le droit au développement est un droit de l'homme stipulé dans la charte des Nations Unies qui met l'accent sur la promotion du développement social et l'amélioration du niveau de vie dans un climat de liberté plus vaste, a réaffirmé le CNDH. La Déclaration universelle des droits de l'homme comporte nombre de principes qui constituent "le pilier du droit au développement". Ce dernier est stipulé également dans le Pacte international relatif au droits civils et politiques et le pacte relatif aux droits économiques et socio-culturels. La Charte arabe des droits de l'homme a évoqué ce volet dans son article 37 qui le considère comme étant "un droit parmi les droits fondamentaux de l'homme", appelant tous les pays à "établir des politiques de développement et des mesures requises pour assurer ce droit", souligne le communiqué. Le Conseil accorde un grand intérêt à ce sujet lié à une vie décente du citoyen pour la promotion et la prospérité de la société", d'autant qu'il aspire à ce que "les principales exigences des différentes catégories du peuple soient prises en considération pour une meilleure vie". A l'occasion de la journée arabe des droits de l'homme coïncidant avec le 16 mars de chaque année et approuvée par le Conseil de la Ligue arabe le 12 septembre 2017 sous le slogan "Droit de l'homme et développement durable", le Conseil a appelé le citoyen arabe à faire de cette journée une occasion pour "renforcer sa détermination et l'encourager dans sa lutte pour l'obtention de tous ses droits civiles, politiques, économiques et socio-culturels".