Voici les déclarations marquantes des présidents de partis en lice pour les locales du 27 novembres, au 19ème jour de la campagne électorale: -Le secrétaire général du Rassemblement national démocratique (RND), Tayeb Zitouni à partir de Tlemcen: "Les prérogatives des présidents des assemblées populaires communales sont limitées et il faut les libérer de toutes les restrictions les empêchant de poursuivre le processus de développement local". -Le président du parti El Fadjr El Djadid, Tahar Benbaibèche, depuis Boussaâda (M'sila): "les APC et APW ont besoin d'avoir plus de pouvoirs dans la gestion et les élus ont besoin de se libérer de la domination de l'administration". -Le président du mouvement "El-Binaa", Abdelkader Bengrina, de Médéa: "l'un des principaux défis qui attend les futures assemblées élues est l'élimination définitive des zones d'ombres et il est impératif de conjuguer tous les efforts afin de hisser ces zones à des niveaux de développement qui leur permet de sortir de leur précarité actuelle". -Le président du Front El-Moustakbel, Abdelaziz Belaid, à partir de Laghouat: "l'actuelle conjoncture que traverse l'Algérie est la résultante de la négligence de la ressource humaine et de l'absence des valeurs, ouvrant la voie ainsi aux mauvais comportements". -La présidente de Tajamou Amel Al Jazaïr (TAJ), Fatima Zohra Zerouati depuis Aïn Sefra (wilaya de Nâama): "choisir des élus pour représenter le citoyen dans les prochaines assemblées populaires communales et de wilaya possédant des capacités scientifiques, un style de gestion moderne... et une écoute constante des aspirations de la population, permettrait de trouver les mesures concrètes et d'éliminer les problèmes et les déséquilibres". -Le secrétaire général du Front de libération nationale Abou El Fadl Baadji à Aïn Temouchent: "la solidarité au niveau des assemblées populaires communales et de wilaya garantit la prise en charge des préoccupations des citoyens et du développement des collectivités locales en totale adéquation avec l'administration". -Le président du parti Sawt Echaab, Lamine Osmani, à partir de Chlef: "Le temps est venu pour le changement, et d'envisager l'édification d'un Etat à la hauteur des aspirations du citoyen qui a la possibilité et la responsabilité de choisir ses représentants aux (APC), de leur donner une légitimité et établir un nouveau système politique ". -Le président du mouvement de la société pour la paix (MSP), Abderrezak Makri, depuis Médéa: "les élections locales du 27 novembre constituent une "opportunité pour s'imposer sur l'échiquier local et de mettre en œuvre de grands chantiers à même d'enclencher une véritable dynamique économique".