La 2e édition du Salon du e-commerce et des services en ligne (ECSEL), prévu du 20 au 24 septembre 2023 au Palais des expositions (Alger), verra la présence de plus de 90 exposants avec la participation d'experts internationaux pour animer des conférences sur le commerce et les services en ligne, ont indiqué lundi les organisateurs de cet évènement. Lors d'une conférence de presse, le représentant du commissariat du Salon "ECSEL", Redouane Hammou a souligné que les exposants qui prendront part à cette 2e édition activent dans le e-commerce, mais aussi dans de nombreux domaines à l'instar des services logistiques et technologiques et des établissements financiers. Organisé sous l'égide des ministères du Commerce et de la Promotion des exportations, de l'Economie de la connaissance, des Start-up et des Micro-entreprises, de la Poste et des Télécommunications et de la Numérisation et des Statistiques, le Salon prévoit environ 50.000 visiteurs qui seront accueillis sur une surface de 4.700 m2. Pour M. Hammou, le "succès" de la 1ere édition du Salon, qui a réuni 60 exposants, a incité plusieurs entreprises à organiser la 2e édition afin d'exposer leurs services aux visiteurs. L'objectif de ce salon, poursuit-il, est d'unifier "les efforts en vue de développer le secteur du commerce et les services électroniques en encourageant leur utilisation par les citoyens et les entreprises". Cet événement permettra également d'organiser le pris "ECSEL" pour le meilleur service électronique, et d'accompagner les porteurs de projets à travers le programme des conférences. Le même intervenant a indiqué que 13 débats et conférences seront animés par des professionnels algériens activant dans les domaines du commerce et des services électroniques contre 4 conférences animées durant la première édition. Il a également annoncé qu'une conférence intitulée ECSEL Talks sera organisée au niveau de la salle Ali Maâchi, qui va abriter, par visioconférence, la Conférence du marketing digital (WebCongress), regroupant les acteurs majeurs dans le domaine de la technologie au niveau mondial, ajoutant que le partenariat entre les deux organisations constituait le premier pas de la Conférence en Afrique.