La section du réseau des parlementaires africains contre la corruption s'est réunie, dimanche au siège de l'Assemblée populaire nationale (APN), sous la présidence de Farida Alimi, présidente de la section. La réunion de la section, installée le 22 septembre 2010, a été consacrée à la définition de son plan d'action et à l'élaboration de son règlement intérieur, a indiqué un communiqué de l'Assemblée. La présidente de la section, a précisé le communiqué, a déclaré à cette occasion que l'Algérie était parmi les premiers pays arabes et africains qui ont adopté la convention internationale sur la lutte contre la corruption. Mme Alimi a évoqué "les efforts déployés par l'Algérie pour adapter son système législatif avec l'esprit et les objectifs de cette convention", soulignant l'importance des missions et des objectifs qui ont présidé à l'installation de la section du réseau en Algérie. Pour Mme Alimi, la section du réseau des parlementaires africains contre la corruption, est un "mécanisme important au niveau du parlement algérien qui tend à activer tous les mécanismes d'application des lois en relation avec la lutte contre la corruption sous toutes ses formes". Le réseau, a-t-elle estimé, est "un mécanisme de coordination des efforts" en matière de lutte contre la corruption avec les entreprises et les secteurs concernés outre "l'activation de tous les mécanismes existants pour le suivi de l'application de la convention internationale de lutte contre la corruption.